L’Open Chamber Orchestra est un orchestre symphonique qui innove avec un concept unique : commencer chacun de ses concerts par une œuvre de musique de chambre, dans laquelle le chef d’orchestre joue avec quelques uns des musiciens. Il a été fondé en 2017 par Yaïr Benaïm, chef d’orchestre et violoniste. Après 13 années à la tête d’un quatuor à cordes, le Quatuor Benaïm, à la carrière internationale, Yaïr Benaïm souhaite maintenant insuffler l’esprit et l’osmose de la musique de chambre à l’échelle symphonique. L’une des valeurs fondamentales de l’Open Chamber Orchestra est donc la musique de chambre. La seconde est l’excellence. L’excellence car les musiciens sont parmi les meilleurs en France - Nathalie Shaw, Guillaume Paoletti, Jean-Michel Tavernier, TeodorComan et Diana Ligeti, pour n’en citer que quelques-uns. Ce sont des musiciens qui occupent des postes importants de solistes dans des orchestres nationaux, au CNSM de Paris, et plus généralement dans la vie musicale internationale. L’Open Chamber Orchestra est régulièrement soutenu dans ses projets par des organismes publics et privés, comme la Mairie de Paris, la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, ou encore l’Institut Alain de Rothschild.
Dominique De Villiecourt est compositeur et violoncelliste. Dominique de Williencourt se présente comme le disciple des violoncellistes André Navarra, Philippe Muller, Mstislav Rostropovitch et du compositeur Jean Hubeau. Instrumentiste renommé, il se produit dans le monde entier et a obtenu le grand prix de l’Académie du disque. De nombreux compositeurs lui dédicacent des œuvres, parmi lesquels Nicolas Bacri, Thierry Lancino, Jean-Louis Florentz ou encore François Vercken. Président de l’association Pour que l’Esprit vive (Résidences et Académie de la Prée), directeur artistique de la société de production musicale Europ & Art, organisateur de croisières musicales, il est aussi, avec Jean Ferrandis, le fondateur de l’Ensemble EDGEDE. Dans ses œuvres, Dominique de Williencourt s’inspire de la Genèse (Bersabée pour violoncelle et orchestre, 2004 ; Abraham et Isaac pour baryton, flûte et orchestre à cordes, 2006), mais surtout de ses nombreux voyages. Tonalité et atonalité dialoguent dans des réminiscences arméniennes (Echmiadzine et le mont Ararat pour violoncelle, 1998), tibétaines (Dharamsala, la montagne aux aromates pour octuor de violoncelles), ukrainiennes (Xer Xès pour trois violoncelles et orchestre à cordes) ou encore russes (Slava Valentin pour octuor de violoncelles, 2009).
Né à Haïfa en Israël, Yaïr Benaïm est un violoniste et chef d'orchestre. Yaïr Benaïm se distingue au sein de sa génération en remportant en 1990 le prix de musique de chambre du « Israel Broadcasting Authority » et en obtenant le satut national très prisé d’Artiste Emérite de l’Etat d’Israël, ainsi que des bourses de la fondation Amérique- Israël pour la culture.
En 1997, il rencontre à Paris Gérard Poulet qui deviendra son Maître. Cette rencontre décisive l’incite à s’installer à Paris pour développer sa carrière. En 1999 il est lauréat de la fondation international Nadia et Lili Boulanger en tant que premier nommé et remporte le troisième grand prix du concours Pierre Lantier. En 2000, il fonde le Quatuor Benaïm, avec lequel il remporte des prix internationaux importants.
Yaïr Benaïm est également attaché à la transmission de sa maitrise du violon : après avoir été en charge de sa classe à l’Ecole Normale de Musique Alfred Cortot ; titulaire du Certificat d’Aptitude, il est professeur de musique de chambre au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rueil-Malmaison.
Il obtient en 2013 le diplôme de direction d’orchestre, mention Très Bien premier nommé. L’année suivante, il se perfectionne à Sienne en Italie où il dirige de nombreux concerts autour du répertoire de l’opéra italien. Invité à diriger régulièrement les orchestres Note et Bien, Ostinato et l’Orchestre du festival de Montargis en France, ainsi que l’Orchestre Symphonique d’Ashdod en Israël, il vient de créer un nouvel orchestre, l’Open Chamber Orchestra, en région parisienne.
Depuis 1995, Theodor Coman est soliste à l’Orchestre National de France, altiste du Quatuor Arpeggione 2001 – 2003 et du quatuor Renoirest alto solo à l’Orchestre National de Paris et membre du trio à cordes de Paris. Né à Bucarest en 1965, il commence l’étude du violon à l’âge de cinq ans avec son père. A quatorze ans, il est séduit par l’alto, et décide de s’y consacrer. Premier Prix d’alto au CNSM de Bucarest, il remporte chaque année le Premier Prix au Concours National d’Alto de Roumanie de 1981 à 1987. En 1986, il obtient le Deuxième Grand Prix au Concours International « Maurice Vieux » à Lille. Il enregistre alors régulièrement à la Radio et Télévision roumaines. • 1988 : Il acquiert le Diplôme National d’Etudes Supérieurs de Musique à Bucarest. • 1990 : Dès son arrivée en France, il est reçu Alto Solo à l’Orchestre National d’Ile de France, avec lequel il joue plusieurs fois en soliste. • 1993 : Membre du « Trio à cordes de Paris », il réalise avec lui des disques et des tournées en Europe et en Russie. Teodor Coman a enseigné au C.N.R. de Rueil-Malmaison et à l’Ecole Normale de Musique de Paris « Alfred Cortot » jusqu’en 2003.
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