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Le bouc envoyé à Azazel - n° 29
A'harei mot: le cadeau fait au diable (28 min)
Shimon Mercer-Wood - Porte parole de l'ambassade d'Israel
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Shimon Mercer-Wood - Porte parole de l'ambassade d'Israel
Shimon Mercer-Wood est né en 1982. Entré dans la carrière diplomatique en 2008, il est le porte-parole de l'ambassade d'Israël en France. Il prépare une thèse en philosophie analytique sur les fichiers mentaux.
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- Akadem
Paris - 28 mars 2019
A'harei mot: le cadeau fait au diable
28 min
Shimon Mercer-Wood - Porte parole de l'ambassade d'Israel
Commentaires ( 5 )
Le mal n'est pas "normal"
26 avril 2019, 19h13, Yael BS
Merci pour votre commentaire éclairant ! Néanmoins, dans sa dernière partie, la démonstration peut se contenter de constater que le mal existe et est bien là, sans pour autant décréter que cela soit justifiable, "normal" et "nécessaire". Un monde dans lequel la Shoa par exemple est "normale" et "nécessaire est insupportable à mes oreilles ; En revanche, pour faire face à la constatation factuelle de l'existence du mal - potentiel ou réalisé, là je suis d'accord avec votre conclusion. Shabbat shalom.
Merci
28 avril 2019, 09h22, rakotobe
Commentaire structuré et claire, point de vue très intéressant sur le bien et le mal.
Utopie
28 avril 2019, 10h36, juliaan van acker
Un très grand merci pour cet exposé d'une grande sagesse ! Faire la distinction entre le bien et le mal, accepter la réalité du mal nous protège contre les utopies. L'importance de cette lecture pour la politique est évident.
Le mal, détecté et identifié, renvoie au bien
28 avril 2019, 22h10, B. Vaisbrot
Merci beaucoup pour avoir éclairci la problématique. Comment ne pas penser à Yeshaya 45, 7 : "Celui qui forme la lumière et crée l'obscurité, réalise la plénitude et crée le mal, c'est Moi l'Éternel qui réalise tout cela". Ce verset, légèrement modifié, est celui qui commence la 3ème partie de toutes les Sha'harioth de l'année. Déjà au moment de la nuit de Cristal, on pouvait avoir identifié que le nazisme apportait la catastrophe à l'humanité. Toute douleur corporelle révèle un dysfonctionnement, parfois physiologique, parfois psycho-somatique. Par ailleurs, le bouc dit "émissaire" est conduit dans le désert par un'ish "ithi, un homme de circonstance, non désigné à l'avance, qui n'a pas l'investissement d'un Grand-prêtre. L'erreur est le fait d'un simple mortel, la rédemption est l'apanage d'un homme bienveillant et instruit. Bravo d'agir écarté le piège du sabbatianisme.
Mais rendre la lumière suppose d’ombre une morne moitié
2 mai 2020, 14h27, Sylvaine L
Cher Monsieur, merci pour votre commentaire sur la responsabilité éthique et morale de l'homme, qui l'amène à distinguer entre bien et mal, distinction qui n'est pas "naturelle". Cela m'a rappelé un très beau vers de Paul Valéry dans le cimetière marin ; poème dans lequel il écrit aussi "midi le juste", quand les ombres épousent presque leur source. Merci beaucoup, Shabbat Shalom.
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PLAN DE LA CONFÉRENCE
Un pot-de-vin au diable?
Envoyer le bouc émissaire à Azazel (11min)
Yin-yan midrachique
Faire le tri dans le monde (11min)
Les deux domaines de Dieu
Le mal ne s'annihile pas (6min)
L'organisateur
- Akadem
Paris - 28 mars 2019
Le mal n'est pas "normal"
26 avril 2019, 19h13, Yael BS
Merci pour votre commentaire éclairant ! Néanmoins, dans sa dernière partie, la démonstration peut se contenter de constater que le mal existe et est bien là, sans pour autant décréter que cela soit justifiable, "normal" et "nécessaire". Un monde dans lequel la Shoa par exemple est "normale" et "nécessaire est insupportable à mes oreilles ; En revanche, pour faire face à la constatation factuelle de l'existence du mal - potentiel ou réalisé, là je suis d'accord avec votre conclusion. Shabbat shalom.
Merci
28 avril 2019, 09h22, rakotobe
Commentaire structuré et claire, point de vue très intéressant sur le bien et le mal.
Utopie
28 avril 2019, 10h36, juliaan van acker
Un très grand merci pour cet exposé d'une grande sagesse ! Faire la distinction entre le bien et le mal, accepter la réalité du mal nous protège contre les utopies. L'importance de cette lecture pour la politique est évident.
Le mal, détecté et identifié, renvoie au bien
28 avril 2019, 22h10, B. Vaisbrot
Merci beaucoup pour avoir éclairci la problématique. Comment ne pas penser à Yeshaya 45, 7 : "Celui qui forme la lumière et crée l'obscurité, réalise la plénitude et crée le mal, c'est Moi l'Éternel qui réalise tout cela". Ce verset, légèrement modifié, est celui qui commence la 3ème partie de toutes les Sha'harioth de l'année. Déjà au moment de la nuit de Cristal, on pouvait avoir identifié que le nazisme apportait la catastrophe à l'humanité. Toute douleur corporelle révèle un dysfonctionnement, parfois physiologique, parfois psycho-somatique. Par ailleurs, le bouc dit "émissaire" est conduit dans le désert par un'ish "ithi, un homme de circonstance, non désigné à l'avance, qui n'a pas l'investissement d'un Grand-prêtre. L'erreur est le fait d'un simple mortel, la rédemption est l'apanage d'un homme bienveillant et instruit. Bravo d'agir écarté le piège du sabbatianisme.
Mais rendre la lumière suppose d’ombre une morne moitié
2 mai 2020, 14h27, Sylvaine L
Cher Monsieur, merci pour votre commentaire sur la responsabilité éthique et morale de l'homme, qui l'amène à distinguer entre bien et mal, distinction qui n'est pas "naturelle". Cela m'a rappelé un très beau vers de Paul Valéry dans le cimetière marin ; poème dans lequel il écrit aussi "midi le juste", quand les ombres épousent presque leur source. Merci beaucoup, Shabbat Shalom.