Golda Meir, première ministre, démissionne en avril 1974 mise à mal par sa mauvaise gestion de la guerre
de Kippour, elle est remplacée par Itzhak Rabin.
Dans son discours
programme, Rabin déclare qu’Israël continuera à lutter pour une paix véritable et
qu’il cherchera à promouvoir des accords avec la Syrie, l’Egypte, le Liban et
la Jordanie.
Richard Nixon
effectuera une visite officielle, encouragea les efforts de paix tout en
affirmant continuer soutenir militairement et financièrement Israël.
L'Etat hébreu se
dit enclin à des accords partiels avec ses voisins mais ne négocierait pas avec
des organisations terroristes, dont l’OLP, qui ont pour but de détruire Israël.
La question palestinienne devient centrale, Arafat
fait l’unanimité à l’ONU et obtient la reconnaissance du peuple palestinien à
avoir une terre.
Retour sur une année de tractations diplomatiques américaines
par la voix d’Henri Kissinger pour trouver un accord de paix et de
non-belligérance entre l’Egypte et Israël.
Ce ballet diplomatique aboutit à un accord signé
le 4 septembre 1975 à Genève sur le Sinaï. Israël se retire d'une partie du
Sinaï et rend à l’Egypte le pétrole du golfe de Suez.
En contrepartie, l’Egypte
autorise le passage de produits non militaires à destination d’Israël. Cet
accord fut très mal perçu par la ligue arabe et l’OLP.
Récit de cet accord qui aboutira plus tard à une paix définitive avec l'Egypte.
Après la ratification de l’accord signé entre l’Egypte
et Israël, Israël procède immédiatement à l’application des termes de cet accord
pour faire preuve de sa volonté d’une paix durable.
Le conseil de sécurité de l’ONU de son côté organise
une rencontre en décembre 1975 avec les pays du Moyen Orient dont l’OLP, et
aboutit à l’adoption d’une résolution contre le sionisme.
Cela contribue à
donner une légitimité à Yasser Arafat vu comme un défenseur du peuple palestinien et à occulter le terrorisme à son actif.
Des manifestations contre cette résolution ont
lieu partout dans le monde libre et en Israël.
Les organisations terroristes, représentées par l’OLP
multiplient les actes terroristes en Israël et à l’étranger.
Récit des principaux massacres
sanglants et opérations terroristes de cette période.
La situation migratoire est relativement stable en Judée
Samarie depuis la Guerre des Six jours, cependant plusieurs ressortissants jordaniens
ont demandé à rejoindre ces territoires. Dans le cadre des réunifications des familles,
Israël autorise ce mouvement migratoire.
Un grand nombre d’arabes de ces territoires, plus de 40 000,
travaillent en Israël. Plusieurs de leurs villes sont rattachées au réseau électrique
israélien, et également au réseau social, sanitaire et éducatif. La présence israélienne
contribue largement à l’expansion économique des territoires. Pour la première
fois, des élections municipales ont lieu dans plusieurs villes arabes.
Parallèlement, le Liban est lui au bord d’une guerre
civile et la Syrie s’apprête à faire main basse sur le pays à mettre au
pas les Palestiniens. Israël reste vigilant et déploie des troupes à la frontière.
La conférence de l’UNESCO du 30 novembre 1976 adopte des
initiatives contre Israël.
Un communiqué commun avec les pays arabes demande le repli
d’Israël des territoires occupés et la restauration des droits des Palestiniens
dont celui d’établir leur propre entité politique.
Jimmy Carter est nommé président des États-Unis. Il
prend en main le dossier de la paix et il réunit lors d'un sommet à Genève
responsables américains et arabes.
Le plan Carter pour le Moyen-Orient définit des
frontières défendables pour Israël. Il
fait référence pour la première fois à la nécessité d'une patrie pour les
réfugiés palestiniens.
Du 12 au 20 mars 1977, a lieu le Conseil national palestinien au Caire, composé des différentes fractions dont le Fatah.
Récit des différents attentats et procès de terroristes
de cette période.
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