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Institut d'Etudes Lévinassiennes
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Sartre et la contingence
Benny LevyInstitut d'Etudes Lévinassiennes
19 août 1997
SARTRE
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon la théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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91 min
Sartre et la contingence (2/16)
Sartre et la contingence, cours du 19 novembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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101 min
Sartre et la contingence (3/16)
Sartre et la contingence, cours du 26 novembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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78 min
Sartre et la contingence (4/16)
Sartre et la contingence, cours du 3 décembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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122 min
Sartre et la contingence (5/16)
Sartre et la contingence, cours du 10 décembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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103 min
Sartre et la contingence (6/16)
Sartre et la contingence, cours du 17 décembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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67 min
Sartre et la contingence (7/16)
Sartre et la contingence, cours du 7 janvier 1998
Benny Levy
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73 min
Sartre et la contingence (8/16)
Sartre et la contingence, cours du 14 janvier 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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79 min
Sartre et la contingence (9/16)
Sartre et la contingence, cours du 28 janvier 1998
Benny Levy
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79 min
Sartre et la contingence (10/16)
Sartre et la contingence, cours du 4 février 1998
Benny Levy
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62 min
Sartre et la contingence (11/16)
Sartre et la contingence, cours du 11 février 1998
Benny Levy
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100 min
Sartre et la contingence (12/16)
Sartre et la contingence, cours du 18 février 1998
Benny Levy
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102 min
Sartre et la contingence (13/16)
Sartre et la contingence, cours du 25 février 1998
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78 min
Sartre et la contingence (14/16)
Sartre et la contingence, cours du 4 mars 1998
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Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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79 min
Sartre et la contingence (15/16)
Sartre et la contingence, cours du 18 mars 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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90 min
Sartre et la contingence (16/16)
Sartre et la contingence, cours du 1e mai 1998
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Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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