L’idolâtrie est progressivement
devenue la faute par excellence dans la tradition d’Israël. Chez les prophètes,
par exemple, elle parcourt l’ensemble du texte biblique. Pourtant, ses contours
demeurent assez flous : elle se prête à des interprétations diverses et
parfois contradictoires, et ses occurrences sont relativement discrètes au
commencement de nos sources, au livre de la Genèse par exemple, où elle
apparait à peine. Nous suivrons les moments-clés de l’apparition dans la Torah,
comme la scène du Veau d’Or, et nous essaierons d’en comprendre les ressorts,
entre Halakha et Aggada.
L’idolâtrie est progressivement
devenue la faute par excellence dans la tradition d’Israël. Chez les prophètes,
par exemple, elle parcourt l’ensemble du texte biblique. Pourtant, ses contours
demeurent assez flous : elle se prête à des interprétations diverses et
parfois contradictoires, et ses occurrences sont relativement discrètes au
commencement de nos sources, au livre de la Genèse par exemple, où elle
apparait à peine. Nous suivrons les moments-clés de l’apparition dans la Torah,
comme la scène du Veau d’Or, et nous essaierons d’en comprendre les ressorts,
entre Hala'ha et Agada.