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Les archives Benny Levy
24 avril 2025
Ce podcast propose des centaines d'heures d'enregistrements des cours et conversations de Benny Levy, notamment à l'université Paris 7 et à Jérusalem, ainsi que des documents anciens comme des entretiens avec Sartre. Philosophe au parcours unique, il a milité dans la gauche prolétarienne avant de redécouvrir sa judéité et de fonder l'Institut d'études lévinassiennes. Ses enregistrements offrent une immersion dans sa pensée, influencée par Sartre, Platon, Spinoza et Lévinas. Benny Levy privilégiait une réflexion vivante, marquée par ses silences et variations de ton. Ses cours, abordant des thèmes comme la morale, l'engagement politique et l'universel, restent actuels et invitent à penser au-delà des frontières académiques.
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Les archives Benny Levy (1/100)La pensée du Retour, cours du 18 juin 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (2/100)La pensée du Retour, cours du 11 juin 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (3/100)La pensée du Retour, cours du 4 juin 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (4/100)La pensée du Retour, cours du 28 mai 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (5/100)La pensée du Retour, cours du 14 mai 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (6/100)La pensée du Retour, cours du 30 avril 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (7/100)La pensée du Retour, cours du 9 avril 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (8/100)La pensée du Retour, cours du 2 avril 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (9/100)La pensée du Retour, cours du 26 mars 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (10/100)La pensée du Retour, cours du 5 mars 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (11/100)La pensée du Retour, cours du 19 février 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (12/100)La pensée du Retour, cours du 12 février 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (13/100)La pensée du Retour, cours du 5 février 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (14/100)La pensée du Retour, cours du 29 janvier 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (15/100)La pensée du Retour, cours du 15 janvier 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (16/100)La pensée du Retour, cours du 1er janvier 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (17/100)La pensée du Retour, cours du 25 décembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (18/100)La pensée du Retour, cours du 18 décembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (19/100)La pensée du Retour, cours du 11 décembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (20/100)La pensée du Retour, cours du 20 novembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (21/100)La pensée du Retour, cours du 13 novembre 2002
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Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (22/100)La pensée du Retour, cours du 6 novembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (23/100)La pensée du Retour, cours du 16 octobre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (24/100)La pensée du Retour, cours du 30 octobre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (25/100)La pensée du Retour, cours du 23 octobre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (26/100)La pensée du Retour, cours du 9 octobre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
Les archives Benny Levy (27/100)Philosophie de la Révélation cours du 19 juin 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (28/100)Philosophie de la Révélation, cours du 12 juin 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?  
Les archives Benny Levy (29/100)Philosophie de la Révélation, cours du 5 juin 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?  
Les archives Benny Levy (30/100)Philosophie de la Révélation, cours du 29 mai 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?  
Les archives Benny Levy (31/100)Philosophie de la Révélation, cours du 22 mai 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (33/100)Philosophie de la Révélation, cours du 8 mai 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?  
Les archives Benny Levy (34/100)Philosophie de la Révélation, cours du 1e mai 2002
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Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (35/100)Philosophie de la Révélation, cours du 24 avril 2002
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Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (36/100)Philosophie de la Révélation, cours du 10 avril 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Levinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (37/100)Philosophie de la Révélation, cours du 20 mars 2002
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Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (38/100)Philosophie de la Révélation, cours du 13 mars 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (39/100)Philosophie de la Révélation, cours du 6 mars 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné B. Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (40/100)Philosophie de la Révélation, cours du 20 février 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné B. Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (41/100)Philosophie de la Révélation, cours du 13 février 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné B. Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (42/100)Philosophie de la Révélation, cours du 6 février 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné B. Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (43/100)Philosophie de la Révélation, cours du 30 janvier 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné B. Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (44/100)Philosophie de la Révélation, cours du 9 janvier 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné B. Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (45/100)Philosophie de la Révélation, cours du 2 janvier 2002
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné B. Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (46/100)Philosophie de la Révélation, cours du 26 décembre 2001
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné B. Lévy à l’IEL. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (47/100)Philosophie de la Révélation, cours du 19 décembre 2001
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?  
Les archives Benny Levy (48/100)Philosophie de la Révélation, cours du 28 novembre 2001
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Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?  
Les archives Benny Levy (49/100)Philosophie de la Révélation, cours du 21 novembre 2001
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Iinstitut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?  
Les archives Benny Levy (50/100)Philosophie de la Révélation, cours du 14 novembre 2001
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?  
Les archives Benny Levy (51/100)Philosophie de la Révélation, cours du 7 novembre 2001
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?  
Les archives Benny Levy (52/100)Philosophie de la Révélation, cours du 24 octobre 2001
Benny Levy
Ce séminaire est l’avant-dernier qu’a donné Benny Lévy à l’Institut d'Etudes Lévinassiennes. Il s’inscrit dans la continuité du précédent, consacré au temps chez Levinas. La question qu’il pose est la suivante : le croisement dans la pensée de Levinas de la philosophie et de la source juive autorise-t-il à qualifier sa pensée de philosophie de la révélation ? La même question vaut pour Rosenzweig dont l’importance de la « nouvelle pensée » fut décisive pour Levinas comme l’a montré le cours de l’année précédente. Il faut donc en venir aux textes de Rosenzweig. Pour comprendre sa pensée, il est cependant nécessaire de se pencher sur la philosophie de Schelling, décisive dans sa formation, et à laquelle B. Lévy avait consacré ses cours durant ses dernières années parisiennes et qui fut l’auteur précisément d’une Philosophie de la révélation. Il ne s’agit nullement, B. Lévy le précise, d’histoire de la philosophie mais bien du déploiement de la question qui était la sienne et qu’il posait avec intensité : peut-on appareiller dans une formule – philosophie de la révélation – le sensé philosophique et le sensé biblique ?
Les archives Benny Levy (53/100)Sartre et la contingence, cours du 1e mai 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (54/100)Sartre et la contingence, cours du 18 mars 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (55/100)Sartre et la contingence, cours du 4 mars 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (56/100)Sartre et la contingence, cours du 25 février 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (57/100)Sartre et la contingence, cours du 18 février 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (58/100)Sartre et la contingence, cours du 11 février 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (59/100)Sartre et la contingence, cours du 4 février 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (60/100)Sartre et la contingence, cours du 28 janvier 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (61/100)Sartre et la contingence, cours du 14 janvier 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (62/100)Sartre et la contingence, cours du 7 janvier 1998
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (63/100)Sartre et la contingence, cours du 17 décembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (64/100)Sartre et la contingence, cours du 10 décembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (65/100)Sartre et la contingence, cours du 3 décembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (66/100)Sartre et la contingence, cours du 26 novembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (67/100)Sartre et la contingence, cours du 19 novembre 1997
Benny Levy
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Les archives Benny Levy (68/100)L'idée communiste chez Marx, cours du 13 avril 1992
Benny Levy
Février 1992 : « un spectre hante l’Europe, celui de la fin du communisme » déclare B. Lévy à ses étudiants. En décembre 91, l’URSS avait entériné sa propre disparition. Il était donc de première importance de penser ce qui disparaissait – de plus, pour l’ancien maoïste qu’était B. Lévy, c’était un pan de sa vie qui était en jeu. Le cours s’intitula donc « L’idée communiste chez Marx ». B. Lévy cherche à y scruter les avatars de l’idée communiste dans les théories politiques, dans ce qu’il appellera plus tard la « vision politique du monde ». Car l’idée ne date évidemment pas de Marx bien qu’il lui ait donné sa forme la plus intense et la plus efficace. B. Lévy se penche par exemple sur la proximité et les différences entre la critique de l’égoïsme, constante chez Marx, et la critique que Platon fait, au livre V de la République, de la propriété privée (« Ceci est à moi »), ce qui l’amène à la délicate question de la communauté des femmes prônée par Platon. Le cours porte ensuite sur la critique qu’Aristote fit du communisme de Platon et sur la pensée de Claude Lefort. Parti de Platon, il arrive enfin au fameux texte de Marx : La question juive, dont il propose une lecture.
Les archives Benny Levy (69/100)L'idée communiste chez Marx, cours du 6 avril 1992
Benny Levy
Février 1992 : « un spectre hante l’Europe, celui de la fin du communisme » déclare B. Lévy à ses étudiants. En décembre 91, l’URSS avait entériné sa propre disparition. Il était donc de première importance de penser ce qui disparaissait – de plus, pour l’ancien maoïste qu’était B. Lévy, c’était un pan de sa vie qui était en jeu. Le cours s’intitula donc « L’idée communiste chez Marx ». B. Lévy cherche à y scruter les avatars de l’idée communiste dans les théories politiques, dans ce qu’il appellera plus tard la « vision politique du monde ». Car l’idée ne date évidemment pas de Marx bien qu’il lui ait donné sa forme la plus intense et la plus efficace. B. Lévy se penche par exemple sur la proximité et les différences entre la critique de l’égoïsme, constante chez Marx, et la critique que Platon fait, au livre V de la République, de la propriété privée (« Ceci est à moi »), ce qui l’amène à la délicate question de la communauté des femmes prônée par Platon. Le cours porte ensuite sur la critique qu’Aristote fit du communisme de Platon et sur la pensée de Claude Lefort. Parti de Platon, il arrive enfin au fameux texte de Marx : La question juive, dont il propose une lecture.
Les archives Benny Levy (70/100)L'idée communiste chez Marx, cours du 30 mars 1992
Benny Levy
Février 1992 : « un spectre hante l’Europe, celui de la fin du communisme » déclare B. Lévy à ses étudiants. En décembre 91, l’URSS avait entériné sa propre disparition. Il était donc de première importance de penser ce qui disparaissait – de plus, pour l’ancien maoïste qu’était B. Lévy, c’était un pan de sa vie qui était en jeu. Le cours s’intitula donc « L’idée communiste chez Marx ». B. Lévy cherche à y scruter les avatars de l’idée communiste dans les théories politiques, dans ce qu’il appellera plus tard la « vision politique du monde ». Car l’idée ne date évidemment pas de Marx bien qu’il lui ait donné sa forme la plus intense et la plus efficace. B. Lévy se penche par exemple sur la proximité et les différences entre la critique de l’égoïsme, constante chez Marx, et la critique que Platon fait, au livre V de la République, de la propriété privée (« Ceci est à moi »), ce qui l’amène à la délicate question de la communauté des femmes prônée par Platon. Le cours porte ensuite sur la critique qu’Aristote fit du communisme de Platon et sur la pensée de Claude Lefort. Parti de Platon, il arrive enfin au fameux texte de Marx : La question juive, dont il propose une lecture.
Les archives Benny Levy (71/100)L'idée communiste chez Marx, cours du 23 mars 1992
Benny Levy
Février 1992 : « un spectre hante l’Europe, celui de la fin du communisme » déclare B. Lévy à ses étudiants. En décembre 91, l’URSS avait entériné sa propre disparition. Il était donc de première importance de penser ce qui disparaissait – de plus, pour l’ancien maoïste qu’était B. Lévy, c’était un pan de sa vie qui était en jeu. Le cours s’intitula donc « L’idée communiste chez Marx ». B. Lévy cherche à y scruter les avatars de l’idée communiste dans les théories politiques, dans ce qu’il appellera plus tard la « vision politique du monde ». Car l’idée ne date évidemment pas de Marx bien qu’il lui ait donné sa forme la plus intense et la plus efficace. B. Lévy se penche par exemple sur la proximité et les différences entre la critique de l’égoïsme, constante chez Marx, et la critique que Platon fait, au livre V de la République, de la propriété privée (« Ceci est à moi »), ce qui l’amène à la délicate question de la communauté des femmes prônée par Platon. Le cours porte ensuite sur la critique qu’Aristote fit du communisme de Platon et sur la pensée de Claude Lefort. Parti de Platon, il arrive enfin au fameux texte de Marx : La question juive, dont il propose une lecture.
Les archives Benny Levy (73/100)L'idée communiste chez Marx, cours du 2 mars 1992
Benny Levy
Février 1992 : « un spectre hante l’Europe, celui de la fin du communisme » déclare B. Lévy à ses étudiants. En décembre 91, l’URSS avait entériné sa propre disparition. Il était donc de première importance de penser ce qui disparaissait – de plus, pour l’ancien maoïste qu’était B. Lévy, c’était un pan de sa vie qui était en jeu. Le cours s’intitula donc « L’idée communiste chez Marx ». B. Lévy cherche à y scruter les avatars de l’idée communiste dans les théories politiques, dans ce qu’il appellera plus tard la « vision politique du monde ». Car l’idée ne date évidemment pas de Marx bien qu’il lui ait donné sa forme la plus intense et la plus efficace. B. Lévy se penche par exemple sur la proximité et les différences entre la critique de l’égoïsme, constante chez Marx, et la critique que Platon fait, au livre V de la République, de la propriété privée (« Ceci est à moi »), ce qui l’amène à la délicate question de la communauté des femmes prônée par Platon. Le cours porte ensuite sur la critique qu’Aristote fit du communisme de Platon et sur la pensée de Claude Lefort. Parti de Platon, il arrive enfin au fameux texte de Marx : La question juive, dont il propose une lecture.
Les archives Benny Levy (74/100)L'idée communiste chez Marx, cours du 24 février 1992
Benny Levy
Février 1992 : « un spectre hante l’Europe, celui de la fin du communisme » déclare B. Lévy à ses étudiants. En décembre 91, l’URSS avait entériné sa propre disparition. Il était donc de première importance de penser ce qui disparaissait – de plus, pour l’ancien maoïste qu’était B. Lévy, c’était un pan de sa vie qui était en jeu. Le cours s’intitula donc « L’idée communiste chez Marx ». B. Lévy cherche à y scruter les avatars de l’idée communiste dans les théories politiques, dans ce qu’il appellera plus tard la « vision politique du monde ». Car l’idée ne date évidemment pas de Marx bien qu’il lui ait donné sa forme la plus intense et la plus efficace. B. Lévy se penche par exemple sur la proximité et les différences entre la critique de l’égoïsme, constante chez Marx, et la critique que Platon fait, au livre V de la République, de la propriété privée (« Ceci est à moi »), ce qui l’amène à la délicate question de la communauté des femmes prônée par Platon. Le cours porte ensuite sur la critique qu’Aristote fit du communisme de Platon et sur la pensée de Claude Lefort. Parti de Platon, il arrive enfin au fameux texte de Marx : La question juive, dont il propose une lecture.Le politique de Platon
Les archives Benny Levy (75/100)L'idée communiste chez Marx, cours du 17 février 1992
Benny Levy
Février 1992 : « un spectre hante l’Europe, celui de la fin du communisme » déclare B. Lévy à ses étudiants. En décembre 91, l’URSS avait entériné sa propre disparition. Il était donc de première importance de penser ce qui disparaissait – de plus, pour l’ancien maoïste qu’était B. Lévy, c’était un pan de sa vie qui était en jeu. Le cours s’intitula donc « L’idée communiste chez Marx ». B. Lévy cherche à y scruter les avatars de l’idée communiste dans les théories politiques, dans ce qu’il appellera plus tard la « vision politique du monde ». Car l’idée ne date évidemment pas de Marx bien qu’il lui ait donné sa forme la plus intense et la plus efficace. B. Lévy se penche par exemple sur la proximité et les différences entre la critique de l’égoïsme, constante chez Marx, et la critique que Platon fait, au livre V de la République, de la propriété privée (« Ceci est à moi »), ce qui l’amène à la délicate question de la communauté des femmes prônée par Platon. Le cours porte ensuite sur la critique qu’Aristote fit du communisme de Platon et sur la pensée de Claude Lefort. Parti de Platon, il arrive enfin au fameux texte de Marx : La question juive, dont il propose une lecture.
Les archives Benny Levy (76/100)L'idée communiste chez Marx, cours du 10 février 1992
Benny Levy
Février 1992 : « un spectre hante l’Europe, celui de la fin du communisme » déclare B. Lévy à ses étudiants. En décembre 91, l’URSS avait entériné sa propre disparition. Il était donc de première importance de penser ce qui disparaissait – de plus, pour l’ancien maoïste qu’était B. Lévy, c’était un pan de sa vie qui était en jeu. Le cours s’intitula donc « L’idée communiste chez Marx ». B. Lévy cherche à y scruter les avatars de l’idée communiste dans les théories politiques, dans ce qu’il appellera plus tard la « vision politique du monde ». Car l’idée ne date évidemment pas de Marx bien qu’il lui ait donné sa forme la plus intense et la plus efficace. B. Lévy se penche par exemple sur la proximité et les différences entre la critique de l’égoïsme, constante chez Marx, et la critique que Platon fait, au livre V de la République, de la propriété privée (« Ceci est à moi »), ce qui l’amène à la délicate question de la communauté des femmes prônée par Platon. Le cours porte ensuite sur la critique qu’Aristote fit du communisme de Platon et sur la pensée de Claude Lefort. Parti de Platon, il arrive enfin au fameux texte de Marx : La question juive, dont il propose une lecture.    
Les archives Benny Levy (77/100)Le Politique de Platon, cours du 20 janvier 1992
  Une très grande partie des cours de Benny Lévy ont porté sur des dialogues de Platon, dont il était grand lecteur. D’abord parce que le dialogue constituait à ses yeux l’essence même de la parole philosophique, mais aussi parce que qu’au cœur de la réflexion platonicienne se trouve la question du politique. En 1991, le texte étudié fut Le Politique. Ce dialogue essentiel aux yeux de B. Lévy qui lui consacrera plusieurs chapitres de son livre Le meurtre du Pasteur, paru en 2002, permet d’examiner le rapport ambigu de Socrate à la politique : l’action existentielle de Socrate s’adresse au soi, à chac-un quant l’action politique concerne la multitude, Socrate prétend parfois qu’il faut s’abstenir de tout engagement politique, d’autre fois que sa philosophie constitue le véritable art politique. Dans ce cours B. Lévy part de cette tension pour aborder le Politique.        
Les archives Benny Levy (78/100)Le Politique de Platon, cours du 13 janvier 1992
Benny Levy
  Une très grande partie des cours de Benny Lévy ont porté sur des dialogues de Platon, dont il était grand lecteur. D’abord parce que le dialogue constituait à ses yeux l’essence même de la parole philosophique, mais aussi parce que qu’au cœur de la réflexion platonicienne se trouve la question du politique. En 1991, le texte étudié fut Le Politique. Ce dialogue essentiel aux yeux de B. Lévy qui lui consacrera plusieurs chapitres de son livre Le meurtre du Pasteur, paru en 2002, permet d’examiner le rapport ambigu de Socrate à la politique : l’action existentielle de Socrate s’adresse au soi, à chac-un quant l’action politique concerne la multitude, Socrate prétend parfois qu’il faut s’abstenir de tout engagement politique, d’autre fois que sa philosophie constitue le véritable art politique. Dans ce cours B. Lévy part de cette tension pour aborder le Politique.        
Les archives Benny Levy (79/100)Le Politique de Platon, cours du 6 janvier 1992
  Une très grande partie des cours de Benny Lévy ont porté sur des dialogues de Platon, dont il était grand lecteur. D’abord parce que le dialogue constituait à ses yeux l’essence même de la parole philosophique, mais aussi parce que qu’au cœur de la réflexion platonicienne se trouve la question du politique. En 1991, le texte étudié fut Le Politique. Ce dialogue essentiel aux yeux de B. Lévy qui lui consacrera plusieurs chapitres de son livre Le meurtre du Pasteur, paru en 2002, permet d’examiner le rapport ambigu de Socrate à la politique : l’action existentielle de Socrate s’adresse au soi, à chac-un quant l’action politique concerne la multitude, Socrate prétend parfois qu’il faut s’abstenir de tout engagement politique, d’autre fois que sa philosophie constitue le véritable art politique. Dans ce cours B. Lévy part de cette tension pour aborder le Politique.        
Les archives Benny Levy (80/100)Le Politique de Platon, cours du 16 décembre 1991
Benny Levy
  Une très grande partie des cours de Benny Lévy ont porté sur des dialogues de Platon, dont il était grand lecteur. D’abord parce que le dialogue constituait à ses yeux l’essence même de la parole philosophique, mais aussi parce que qu’au cœur de la réflexion platonicienne se trouve la question du politique. En 1991, le texte étudié fut Le Politique. Ce dialogue essentiel aux yeux de B. Lévy qui lui consacrera plusieurs chapitres de son livre Le meurtre du Pasteur, paru en 2002, permet d’examiner le rapport ambigu de Socrate à la politique : l’action existentielle de Socrate s’adresse au soi, à chac-un quant l’action politique concerne la multitude, Socrate prétend parfois qu’il faut s’abstenir de tout engagement politique, d’autre fois que sa philosophie constitue le véritable art politique. Dans ce cours B. Lévy part de cette tension pour aborder le Politique.        
Les archives Benny Levy (81/100)Le Politique de Platon, cours du 9 décembre 1991
Benny Levy
Une très grande partie des cours de Benny Lévy ont porté sur des dialogues de Platon, dont il était grand lecteur. D’abord parce que le dialogue constituait à ses yeux l’essence même de la parole philosophique, mais aussi parce que qu’au cœur de la réflexion platonicienne se trouve la question du politique. En 1991, le texte étudié fut Le Politique. Ce dialogue essentiel aux yeux de B. Lévy qui lui consacrera plusieurs chapitres de son livre Le meurtre du Pasteur, paru en 2002, permet d’examiner le rapport ambigu de Socrate à la politique : l’action existentielle de Socrate s’adresse au soi, à chac-un quant l’action politique concerne la multitude, Socrate prétend parfois qu’il faut s’abstenir de tout engagement politique, d’autre fois que sa philosophie constitue le véritable art politique. Dans ce cours B. Lévy part de cette tension pour aborder le Politique.      
Les archives Benny Levy (82/100)Le Politique de Platon, cours du 2 décembre 1991
  Une très grande partie des cours de Benny Lévy ont porté sur des dialogues de Platon, dont il était grand lecteur. D’abord parce que le dialogue constituait à ses yeux l’essence même de la parole philosophique, mais aussi parce que qu’au cœur de la réflexion platonicienne se trouve la question du politique. En 1991, le texte étudié fut Le Politique. Ce dialogue essentiel aux yeux de B. Lévy qui lui consacrera plusieurs chapitres de son livre Le meurtre du Pasteur, paru en 2002, permet d’examiner le rapport ambigu de Socrate à la politique : l’action existentielle de Socrate s’adresse au soi, à chac-un quant l’action politique concerne la multitude, Socrate prétend parfois qu’il faut s’abstenir de tout engagement politique, d’autre fois que sa philosophie constitue le véritable art politique. Dans ce cours B. Lévy part de cette tension pour aborder le Politique.      
Les archives Benny Levy (83/100)Le Politique de Platon, cours du 25 novembre 1991
Benny Levy
  Une très grande partie des cours de Benny Lévy ont porté sur des dialogues de Platon, dont il était grand lecteur. D’abord parce que le dialogue constituait à ses yeux l’essence même de la parole philosophique, mais aussi parce que qu’au cœur de la réflexion platonicienne se trouve la question du politique. En 1991, le texte étudié fut Le Politique. Ce dialogue essentiel aux yeux de B. Lévy qui lui consacrera plusieurs chapitres de son livre Le meurtre du Pasteur, paru en 2002, permet d’examiner le rapport ambigu de Socrate à la politique : l’action existentielle de Socrate s’adresse au soi, à chac-un quant l’action politique concerne la multitude, Socrate prétend parfois qu’il faut s’abstenir de tout engagement politique, d’autre fois que sa philosophie constitue le véritable art politique. Dans ce cours B. Lévy part de cette tension pour aborder le Politique.      
Les archives Benny Levy (86/100)Le Politique de Platon, cours du 28 octobre 1991
Benny Levy
 Une très grande partie des cours de Benny Lévy ont porté sur des dialogues de Platon, dont il était grand lecteur. D’abord parce que le dialogue constituait à ses yeux l’essence même de la parole philosophique, mais aussi parce que qu’au cœur de la réflexion platonicienne se trouve la question du politique. En 1991, le texte étudié fut Le Politique. Ce dialogue essentiel aux yeux de B. Lévy qui lui consacrera plusieurs chapitres de son livre Le meurtre du Pasteur, paru en 2002, permet d’examiner le rapport ambigu de Socrate à la politique : l’action existentielle de Socrate s’adresse au soi, à chac-un quant l’action politique concerne la multitude, Socrate prétend parfois qu’il faut s’abstenir de tout engagement politique, d’autre fois que sa philosophie constitue le véritable art politique. Dans ce cours B. Lévy part de cette tension pour aborder le Politique.      
Les archives Benny Levy (87/100)Le Politique de Platon, cours du 21 octobre 1991
Benny Levy
Une très grande partie des cours de Benny Lévy ont porté sur des dialogues de Platon, dont il était grand lecteur. D’abord parce que le dialogue constituait à ses yeux l’essence même de la parole philosophique, mais aussi parce que qu’au cœur de la réflexion platonicienne se trouve la question du politique. En 1991, le texte étudié fut Le Politique. Ce dialogue essentiel aux yeux de B. Lévy qui lui consacrera plusieurs chapitres de son livre Le meurtre du Pasteur, paru en 2002, permet d’examiner le rapport ambigu de Socrate à la politique : l’action existentielle de Socrate s’adresse au soi, à chac-un quant l’action politique concerne la multitude, Socrate prétend parfois qu’il faut s’abstenir de tout engagement politique, d’autre fois que sa philosophie constitue le véritable art politique. Dans ce cours B. Lévy part de cette tension pour aborder le Politique.      
Les archives Benny Levy (88/100)Le temps, cours du 13 décembre 2000
Benny Levy
L’Institut d’études lévinassiennes vient de s’ouvrir à Jérusalem et Benny Lévy y donne son premier séminaire, consacré à la question du temps, centrale dans l’œuvre de Levinas. Ce cours donne le ton du travail de l’Institut d’études lévinassiennes : non pas l’étude académique de la pensée, mais un corps à corps avec les textes, que B. Lévy présente ainsi : « Le texte me vise. S’il me frappe en plein cœur, je réponds. » .
Les archives Benny Levy (89/100)Le temps, cours du 6 décembre 2000
Benny Levy
L’Institut d’études lévinassiennes vient de s’ouvrir à Jérusalem et Benny Lévy y donne son premier séminaire, consacré à la question du temps, centrale dans l’œuvre de Levinas. Ce cours donne le ton du travail de l’Institut d’études lévinassiennes : non pas l’étude académique de la pensée, mais un corps à corps avec les textes, que B. Lévy présente ainsi : « Le texte me vise. S’il me frappe en plein cœur, je réponds. » .
Les archives Benny Levy (90/100)Le temps, cours du 22 novembre 2000
Benny Levy
L’Institut d’études lévinassiennes vient de s’ouvrir à Jérusalem et Benny Lévy y donne son premier séminaire, consacré à la question du temps, centrale dans l’œuvre de Levinas. Ce cours donne le ton du travail de l’Institut d’études lévinassiennes : non pas l’étude académique de la pensée, mais un corps à corps avec les textes, que B. Lévy présente ainsi : « Le texte me vise. S’il me frappe en plein cœur, je réponds. » .
Les archives Benny Levy (91/100)Le temps, cours du 15 novembre 2000
L’Institut d’études lévinassiennes vient de s’ouvrir à Jérusalem et Benny Lévy y donne son premier séminaire, consacré à la question du temps, centrale dans l’œuvre de Levinas. Ce cours donne le ton du travail de l’Institut d’études lévinassiennes : non pas l’étude académique de la pensée, mais un corps à corps avec les textes, que B. Lévy présente ainsi : « Le texte me vise. S’il me frappe en plein cœur, je réponds. » .
Les archives Benny Levy (92/100)Le temps, cours du 8 novembre 2000
Benny Levy
L’Institut d’études lévinassiennes vient de s’ouvrir à Jérusalem et Benny Lévy y donne son premier séminaire, consacré à la question du temps, centrale dans l’œuvre de Levinas. Ce cours donne le ton du travail de l’Institut d’études lévinassiennes : non pas l’étude académique de la pensée, mais un corps à corps avec les textes, que B. Lévy présente ainsi : « Le texte me vise. S’il me frappe en plein cœur, je réponds. » .
Les archives Benny Levy (93/100)Le temps, cours du 1e octobre 2000
Benny Levy
L’Institut d’études lévinassiennes vient de s’ouvrir à Jérusalem et Benny Lévy y donne son premier séminaire, consacré à la question du temps, centrale dans l’œuvre de Levinas. Ce cours donne le ton du travail de l’Institut d’études lévinassiennes : non pas l’étude académique de la pensée, mais un corps à corps avec les textes, que B. Lévy présente ainsi : « Le texte me vise. S’il me frappe en plein cœur, je réponds. » .
Les archives Benny Levy (94/100)Cercles Socratiques, cercle 10
Benny Levy
Conçu comme un « lieu de parole » pour les anciens membres de la GP dissoute en 1973, le Cercle socratique devait être l’occasion d’une réflexion collective sur l’« aventure gauchiste » . Si le temps de l’action politique radicale était terminé, il restait à l’évidence quelque chose à penser de ce qui s’était déroulé durant ces années de feu.
Les archives Benny Levy (95/100)Cercles Socratiques, cercle 9
Benny Levy
Conçu comme un « lieu de parole » pour les anciens membres de la GP dissoute en 1973, le Cercle socratique devait être l’occasion d’une réflexion collective sur l’« aventure gauchiste » . Si le temps de l’action politique radicale était terminé, il restait à l’évidence quelque chose à penser de ce qui s’était déroulé durant ces années de feu.
Les archives Benny Levy (96/100)Cercles Socratiques, cercle 8
Conçu comme un « lieu de parole » pour les anciens membres de la GP dissoute en 1973, le Cercle socratique devait être l’occasion d’une réflexion collective sur l’« aventure gauchiste » . Si le temps de l’action politique radicale était terminé, il restait à l’évidence quelque chose à penser de ce qui s’était déroulé durant ces années de feu.
Les archives Benny Levy (97/100)Cercles Socratiques, cercle 7
Benny Levy
Conçu comme un « lieu de parole » pour les anciens membres de la GP dissoute en 1973, le Cercle socratique devait être l’occasion d’une réflexion collective sur l’« aventure gauchiste » . Si le temps de l’action politique radicale était terminé, il restait à l’évidence quelque chose à penser de ce qui s’était déroulé durant ces années de feu.
Les archives Benny Levy (98/100)Cercles Socratiques, cercle 6
Benny Levy
Conçu comme un « lieu de parole » pour les anciens membres de la GP dissoute en 1973, le Cercle socratique devait être l’occasion d’une réflexion collective sur l’« aventure gauchiste » . Si le temps de l’action politique radicale était terminé, il restait à l’évidence quelque chose à penser de ce qui s’était déroulé durant ces années de feu.
Les archives Benny Levy (99/100)Cercles Socratiques, cercle 5
Benny Levy
Conçu comme un « lieu de parole » pour les anciens membres de la GP dissoute en 1973, le Cercle socratique devait être l’occasion d’une réflexion collective sur l’« aventure gauchiste » . Si le temps de l’action politique radicale était terminé, il restait à l’évidence quelque chose à penser de ce qui s’était déroulé durant ces années de feu.
Les archives Benny Levy (100/100)Cercles Socratiques, cercle 4
Benny Levy
Conçu comme un « lieu de parole » pour les anciens membres de la GP dissoute en 1973, le Cercle socratique devait être l’occasion d’une réflexion collective sur l’« aventure gauchiste » . Si le temps de l’action politique radicale était terminé, il restait à l’évidence quelque chose à penser de ce qui s’était déroulé durant ces années de feu.
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