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Institut d'Etudes Lévinassiennes
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La pensée du Retour
Institut d'Etudes Lévinassiennes09 octobre 2002
BENNY LÉVYLÉVINAS
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, B. Lévy avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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80 min
La pensée du Retour (2/27)
La pensée du Retour, cours du 9 octobre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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98 min
La pensée du Retour (3/27)
La pensée du Retour, cours du 16 octobre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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75 min
La pensée du Retour (4/27)
La pensée du Retour, cours du 23 octobre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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63 min
La pensée du Retour (5/27)
La pensée du Retour, cours du 30 octobre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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La pensée du Retour (6/27)
La pensée du Retour, cours du 6 novembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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La pensée du Retour (7/27)
La pensée du Retour, cours du 13 novembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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La pensée du Retour (8/27)
La pensée du Retour, cours du 20 novembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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76 min
La pensée du Retour (9/27)
La pensée du Retour, cours du 11 décembre 2002
Benny Levy
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84 min
La pensée du Retour (10/27)
La pensée du Retour, cours du 18 décembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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78 min
La pensée du Retour (11/27)
La pensée du Retour, cours du 25 décembre 2002
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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99 min
La pensée du Retour (12/27)
La pensée du Retour, cours du 1er janvier 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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La pensée du Retour (13/27)
La pensée du Retour, cours du 15 janvier 2003
Benny Levy
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La pensée du Retour (14/27)
La pensée du Retour, cours du 29 janvier 2003
Benny Levy
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79 min
La pensée du Retour (15/27)
La pensée du Retour, cours du 5 février 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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74 min
La pensée du Retour (16/27)
La pensée du Retour, cours du 12 février 2003
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Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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La pensée du Retour (17/27)
La pensée du Retour, cours du 19 février 2003
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Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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71 min
La pensée du Retour (18/27)
La pensée du Retour, cours du 5 mars 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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79 min
La pensée du Retour (19/27)
La pensée du Retour, cours du 26 mars 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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72 min
La pensée du Retour (20/27)
La pensée du Retour, cours du 2 avril 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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96 min
La pensée du Retour (21/27)
La pensée du Retour, cours du 9 avril 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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78 min
La pensée du Retour (22/27)
La pensée du Retour, cours du 30 avril 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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86 min
La pensée du Retour (23/27)
La pensée du Retour, cours du 14 mai 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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85 min
La pensée du Retour (24/27)
La pensée du Retour, cours du 28 mai 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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76 min
La pensée du Retour (25/27)
La pensée du Retour, cours du 4 juin 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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79 min
La pensée du Retour (26/27)
La pensée du Retour, cours du 11 juin 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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73 min
La pensée du Retour (27/27)
La pensée du Retour, cours du 18 juin 2003
Benny Levy
Ce séminaire est le dernier que donna Benny Lévy, celui duquel est tiré son ultime livre : Être juif. Étude lévinassienne. Il s’inscrit dans la continuité du précédent. L’année précédente en effet, il avait interrogé les textes de Schelling et de Rosenzweig surtout. Levinas avait été abordé très rapidement. Il s’agit maintenant d’y revenir pour penser plus loin, pour faire un pas en avant. D’où le titre du séminaire : « La pensée du Retour après Rosenzweig et Lévinas ». Car si la pensée du Retour s’esquisse chez Lévinas, elle ne s’y déploie pas. Il faut donc l’en dégager, revenir à sa matrice et en forcer l’éclosion, qui rencontre dans les textes de Lévinas, une certaine résistance – d’où la nécessité de penser « avec Lévinas en dépit de Lévinas » comme le dira la préface d’Être juif. Mais la prise de distance ne résulte pas d’arguments extérieurs opposés à ceux de Lévinas, elle vient des tensions qui parcourent les textes de Lévinas eux-mêmes. Le cours est d’une très grande densité et d’une très forte intensité ; il présente l’originalité d’être le premier – et le seul – cours de B. Lévy qui ne prenne pas appui sur un texte, mais s’efforce de déployer une notion : celle de « pensée du retour » dont B. Lévy commence par clarifier le sens avant de revenir sur le dialogue subreptice entre Sartre et Levinas autour de la « question juive ». Il se penche afin sur la question du mal absolu en faisant jouer les textes de Lévinas les uns contre les autres – c’est la partie la plus incandescente du cours qu’il faut suivre avec attention et patience.
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