Sartre et la contingence, cours du 17 décembre 1997
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem,
1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à
Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit
son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas,
le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de
« contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus
énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va
donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut
écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était
déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les
textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le
mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire,
de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la
langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent
géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée
déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
Jérusalem, 1997. Quittant Paris, B. Lévy a créé, non sans mal, une école doctorale à Jérusalem, qui sera bientôt fermée par les autorités françaises. Il y poursuit son enseignement avec un nouveau public. Si le premier cours fut consacré à Lévinas, le second l’est à Sartre et à la notion, essentielle, dans son œuvre, de « contingence » qui constitue selon B. Lévy la mot le plus énigmatique, quoique le plus présent, de la langue sartrienne. Le séminaire va donc s’emparer de cette énigme en parcourant les textes de Sartre, qui fut écrivain et philosophe. La particularité de l’enseignement de B. Lévy (c’était déjà le cas à Paris) est de ne pas séparer ces deux aspects et de lire les textes littéraires comme des mythes : de la même façon que chez Platon, le mythe vient déborder le logos lorsqu’il échoue à dire ce qu’il cherche à dire, de la même façon le théâtre sartrien par exemple viendrait suggérer ce que la langue philosophique échoue à articuler clairement. Lecture patiente et souvent géniale de textes inattendus de Sartre qui offre un l’auditeur une pensée déjouant toujours ce que l’on croyait en savoir.
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