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Campus
La vérité brisée
Ticha Beav: pleurer avec joie (12 min)
Ruben Honigmann - journaliste, Raphaël Sadin - rabbin
L'exil, rupture de l'être
Le Temple, lieu de vérité (4min)
La haine gratuite
et l'amitié interessée (3min)
Pleurer avec joie
9 Av, naissance du messie (5min)
Ruben Honigmann - journaliste
Ruben Honigmann est journaliste et directeur éditorial d'Akadem.
Raphaël Sadin - rabbin
Raphael Sadin a étudié à la Yéchiva de Mir avec le Rav Raphaël Shmulevitz puis a enseigné à la Yéchiva Torat Israël. Ancien professeur à l'ENSTA, il dirige aujourd’hui le Kollel Vezot Lé Yehouda, à Jérusalem. Il est responsable du site internet koltora.com.
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- Akadem
Paris - 20 juillet 2017
Ticha Beav: pleurer avec joie
- 1/3L'exil, rupture de l'être(4min)
Le Temple, lieu de vérité
- 2/3La haine gratuite(3min)
et l'amitié interessée
- 3/3Pleurer avec joie(5min)
9 Av, naissance du messie
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Kamtsa et Bar Kamtsa

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Raphael Sadin a étudié à la Yéchiva de Mir avec le Rav Raphaël . . . Voir la bio complète
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L'éclairage historique
27 juillet 2018, 11h14, gerardelie
Il est quand méme regrettable que les faits historiques soient gommés ou presque, en tous cas peu cités, ainsi qu'on le voit bien d'ailleurs dans le document joint'kamtsa et bar kamtsa' : la mention est claire : Le Talmud ne s’attache pas aux grandes causes historiques... Et c'est bien dommagecar on y verrait clairement que cette haine gratuite dont il est question ici, a dégénéré en guerre civile ! ainsi que l'explique clairement Mme hadas-lebel dans ses conférences : à l'intérieur de jerusalem : des juifs assiégés dans la plus grande misére, et à l'extérieur d'autres juifs aux cotés des romains... un enseignement à recouper avec la fin de ce document sur kamtsa « C’est l’humilité de Rabbi Zacharie qui occasionna la destruction de notre maison : Dans le sens où il s'humiliait devant la Loi de Dieu, sans tenir compte des implications tragiques qui pourraient en découler pour tout le peuple d'Israël. toujours hélas d'actualité...
Judaïsme contemporain
2 août 2018, 14h19, Cohen
Et si on parlait du judaïsme à l'aune des réalités réelles et non du seul judaïsme religieux ? Étrange question ? Alors comment expliquer, 70 ans après la Shoah, cette surrenchere religieuse qui pousse d'honnêtes juifs d'Afrique du Nord à se déguiser en rabbins lituaniens ? À ne voir, dans la Shoah, aucune seule cause : celle de la seule responsabilité du peuple juif ? A-t-on encore le droit de ne pas partager cette thèse ? A-t-on encore le droit d'exprimer un point de vue différent et jusqu'à quand ? La lassitude devant une ingérence croissante du religieux dans tous les domaines ne risque-t-elle pas d'entraîner un phénomène de rejet ? Et, dès lors, un risque de divisionUne guerre des juifs ?
DEVOIR DU PEUPLE JUIF
11 août 2019, 14h09, HARROCH FRANCINE-MARIE
NOUS, YEHOUDIM, QUI SOUFFRONS D'ANTISEMITISME, NOUS QUI AVONS COMPRIS QUE L'AMOUR DES AUTRES C'EST LE PLUS IMPORTANT POUR DONNER DE LA VALEUR A NOTRE EXISTENCE, C'EST NOUS QUI DEVONS ENSEIGNER AU MONDE ENTIER TOUT AUTANT QU'A NOS PROCHES CE QU'EST L'AMOUR D'AUTRUI!SORTEZ DE VOS MAISONS- SOYEZ VOLONTAIRES POUR APAISER LES SOUFFRANCE DES AUTRESAIDEZ- COMPRENEZ-SOIGNEZ- COMPASSION ET AMOUR CAR NOUS JUIFS-YEHOUDIM- NOUS COMPRENONS LE MIEUX CES VALEURS- C'EST NOTRE TRAVAIL ! ETRE LUMIERE POUR TOUS LES PEUPLES - ASSEZ DE DISCUTER- METTONS NOUS CHAQUE JUIF A L'ACTION! C'EST LE DEVOIR A ACCOMPLIR-.
@réponse à Judaïsme contemporain
30 juillet 2020, 10h38, Leo
Bonjour, Beaucoup de questions (remarques) incisives dans votre commentaire. Je réagis à deux d'entre elles : En ce jour de Tich`a beav (30 juillet 2020), il me semble que puisque ce jour est encore un jour de deuil mais appelé à être yom tov, une jour de fête, nous sommes encore dans cette brèche, dans cet entre-deux et c'est cela qui rend ce jour si difficile. Nous n'avons pas encore, loin s'en faut, surmonté la désunion et la haine gratuite. Chacun se bat pour ses valeurs, parfois jusqu'au risque de l’effondrement de structures collectives. A l'échelle du couple et de la famille, il suffit de regarder la généralisation et banalisation du divorce. A l'échelle des institutions. A l'échelle des gouvernements, des états. Au nom de valeurs supérieures, le gouvernement estime qu'une réforme mérite la répression des opposants. Cela ne veut certainement pas dire qu'il ne faut pas se battre pour ses valeurs. De même que le divorce est parfois vraiment nécessaire. De même que l'usage de la force. De même que la guerre. Mais l'intelligence et l'humanité du combat pour les valeurs font souvent défaut, ce qui trahit justement les valeurs censément défendues. Le judaïsme "religieux" qui a l'air de vous agacer, il n'appartient qu'à vous de le transformer, par votre exemple, par votre discussion. Ce judaïsme est une tradition, que vous êtes libre de critiquer, d'accepter tel ou tel aspect, d'approfondir et de renouveler. Cette tradition est loin d'être monolithique. Concernant la Shoah, vous ouvrez évidemment des questions d'ampleur insondable. Je me permets toutefois de vous conseiller un livre de David Weiss Halivni, juif profondément religieux et rescapé de la Shoah, qui a pour moi réussi à exprimer ce que je ressentais depuis longtemps : Le Bris des Tables. Il a mis cinquante ans à l'écrire. Il réfute totalement -- et d'un point de vue "religieux" -- la thèse de la "faute" (que vous semblez citer). Je vous conseille aussi sa courte autobiographie, Le Livre et l'Epee. Chalom, La Shoah, .
Comme d'habitude genial
30 juillet 2020, 11h12, Ora
Le sens, la vérité, l’éclat du sens. Il existe dans les interventions de Rav Sadin une dimension de lien entre beauté et vérité tout a fait troublant. Merci a Akadem de nous permettre de découvrir un penseur et un Rav de cette envergure.