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La psychanalyse pour penser la guerre (38 min)
Michel-Gad Wolkowicz - psychanalyste
La psychanalyse n'a pas de recette
pour résoudre la violence (10min)
Quand le peuple devient foule
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Michel-Gad Wolkowicz - psychanalyste
Michel Gad Wolkowicz est psychanalyste, professeur de psychopathologie dans les universités de Paris, Tel Aviv et Glasgow. Il préside l'Association internationale 'Schibboleth' qui organise régulièrement des réflexions et des séminaires sur l'Actualité de Freud' pour notre époque.
Michel Gad Wolkowicz
Si c'était Jérusalem , (In Press Eds, 2018) Acheter
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Le sujet face au réel, et dans la transmission , (In Press Eds, 2014) Acheter
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Un monde en trans, (EDK, 2009) Acheter
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La Force du nom : leur nom, ils l'ont changé, (Desclée de Brouwer, 2010) Emprunter
Panim/Pnim, (EDK, 2009) Acheter
Michel Gad Wolkowicz, Thibault Moreau, Alexis Nouss, Gérard Rabinovitch (dir.)
La psychologie de masse, aujourd'hui, (Editions des Rosiers, 2012) Acheter
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Sigmund Freud
L'avenir d'une illusion, (Presses Universitaires de France, 2004) Acheter
Sigmund Freud, Albert Einstein
Pourquoi la guerre ? , (Rivages, 2005) Acheter
Sigmund Freud, Clotilde Leguil, Bernard Lortholary
Le Malaise dans la civilisation, (Points, 2010) Acheter
Sigmund Freud
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Sigmund Freud
Psychologie de masse et analyse du Moi, (Points, 2014) Acheter
Sigmund Freud
Totem et Tabou , (Flammarion , 2015) Acheter
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Le malaise dans la culture, (Puf, 2015) Acheter
- Schibboleth-Actualite de Freud
- 18 octobre 2017
- 1/4La psychanalyse n'a pas de recette(10min)
pour résoudre la violence
- 2/4Quand le peuple devient foule(14min)
les sociétés se crispent
- 3/4Pourquoi pas la guerre ?(6min)
substitut aux massacres et aux génocides
- 4/4Questions(8min)
instinct de guerre, de mort, de consensus
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Prix Nobel et scientifique engagé
Le père de la psychanalyse
Penser le totalitarisme
Pourquoi la guerre?

Michel Gad Wolkowicz est psychanalyste, professeur de psychopathologie dans les . . . Voir la bio complète

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Quelle tristesse
14 mars 2018, 20h46, bernaerts
Quelle tristesse que cet exposé qui ne clarifie rien des mécanismes qu'il y aurait pourtant lieu de faire connaître, même simplement, en moins de mots qu'ici, afin de pointer l'extrême importance de la composante de la transmission symbolique. Pour cela il faudrait enfin se mettre à jour (l'auteur dit se remettre en question) et intégrer les progrès de la psychanalyse effectué grâce à Daniel Sibony depuis 40 ans de publications d'une totale rigueur et précision. Quelle misère d'en rester aux concepts de base freudiens, et de radoter les grands repères qui éludent la question de ce qu'on peut faire concrètement. Vraiment c'est une profonde tristesse, avec les graves problèmes actuels, une rencontre pour rien.
Transmission nécessaire d'une éthique de vérité et d'une responsabilité de pensée et d'action, notam
19 mai 2018, 12h25, Michel Gad Wolkowicz
Je respecte bien entendu cette critique sévère, et la partagerait moi-même si j'avais fait ce discours à un séminaire de recherches ou dans un colloque scientifique et psychanalytique. Par ailleurs, j'apprécie particulièrement aussi les apports de mon ami Daniel Sibony - nous travaillons régulièrement ensemble dans le cadre de Schibboleth-Actualité de Freud. Mais mon interlocuteur ignore sans doute le contexte de cette conférence faite sur l'invitation du Président Exécutif de l'Unesco, le Dr. Michaël Worbs, à l'occasion de la 202e session du Comité Exécutif, séance exceptionnelle des adieux du Président et de la directrice générale, devant les ambassadeurs de tous les pays membres. Il s'agit d'un geste audacieux de la part du Président, l'habitude étant dans ces circonstances de discours formels de la part d'un " grand homme d'Etat", qui souhaitait laisser la marque d'une critique du fonctionnement institutionnel ayant amené le vote de résolutions par majorités compactes, révisionnistes négationnistes, et d'un voeu que l'unesco se ressource aux fondements de le Société des Nations qui l'a précédée et qui avait dans les années 30 initié des dialogues et réflexions sur des sujets fondamentaux, comme la guerre entre politiques et intellectuels dans l'espoir de mieux contenir les décisions et les passages à l'acte. Ainsi partir du dialogue Freud-Einstein sur la guerre permettait à la fois de leur donner l'exemple de deux grands hommes à l'exigence de recherche de vérité scientifique, historique et psychique, de s'extraire de la foule, de la masse compacte si nécessaire, de parler des totalitarismes, de la gravité des défaillances des instances internationales, de l'éducation qui passe d'abord par le comportement des adultes et des responsables, de parler des causes et des conséquences des dénis... Il s'agissait donc d'un exercice difficile : transmettre, d'un point de vue manifeste, une éthique de vérité et de responsabilité de pensée et d'action, singulière et collective, institutionnelle, à partir d'identifications possibles à des grands hommes de culture et de science qui ont oeuvré, assumé et porté cette responsabilité de pensée, ce courage de liberté de recherche, de se confronter à la masse bien-pensante et conformiste de leur milieu, à des acteurs et des représentants d'une institution et de gouvernements qui défaillent gravement de ces points de vue, avec les conséquences de déni et de violence que l'on connaît. Il ne s'agissait donc pas de leur faire un cours de métapsychologie ou de psychanalyse ou autre, ni de leur faire une leçon morale, ni de tenir un discours explicitement politique et idéologique, à quoi ils n'auraient rien compris, qui auraient renforcé au contraire leurs résistances, voire provoqué leurs départs, mais de s'appuyer sur ces éléments et signifiants métapsychologiques, historiques, éthiques, afin d'ouvrir une brèche dans le fonctionnement totalitaire d'institutions, de groupes, et dans la pensée totalisante et grégaire, ceci dans l'espoir d'une continuité d'échanges et d'interventions. Ce qui sera le cas, beaucoup d'auditeurs, des ambassadeurs ayant bien entendu ce qui était de façon implicite en question, le négationnisme, le révisionnisme, idéologico-politique et institutionnel, la violence qui en est ainsi validée, l'impossibilité de se construire ainsi en peuple toujours en devenir, et auront demandé à ce que ces échanges avec des intellectuels, et particulièrement avec des psychanalystes, se poursuivent afin de retrouver une possibilité de réflexion en surplomb. C'est peut-être un début. Une publication qui explicitera plus précisément divers apports théorico-cliniques et approfondira et élaborera ces problématiques, est en cours, et sera diffusée aussi à et par l'Unesco. Un colloque international s'en suivra, devant se tenir à l'Unesco. Je rappelle que la première invitation, préalable à cette conférence, m'avait été faite à l'occasion du 160è anniversaire de la naissance de Freud, première fois où la psychanalyse était invitée par une instance internationale sous sa propre égide. C'était à la Nuit de la philosophie, et j'ai demandé à mes collègues et amis Bernard Golse, Monette Vacquin et Jean-Pierre Winter de m'accompagner afin d'y présenter les apports de la pensée freudienne et de la psychanalyse à la culture, à la science, à la pensée et à la pratique, à l'éthique. Devant plusieurs centaines de jeunes étudiants enthousiastes, réactifs, questionnant. Je pense, et les réactions nombreuses paraissent montrer que nous avons pu saisir cette occasion exceptionnelle pour transmettre quelque chose et, je l'espère, réinitier un travail de culture, le fameux Kultur arbeit cher à Freud.
Passionnante intervention
7 août 2018, 06h46, Michele Hallak-Stamler
Merci pour cette intervention addressee a des non-professionnels comme moi ! Je ne suis pas sure d'avoir tout compris et je l'ai reecoutee deux fois... J'ai quand meme une question : une blague dit qu'un paranoiaque aussi peut avoir des ennemis... Comment savoir si ce sont des ennemis reels ou des effets de la paranoia ? Je me pose souvent cette question quant a mes sentiments/opinions regardant d'autres groupes... En ce qui concerne mes rapports avec des particuliers, c'est plus facile pour moi d'estimer si une personne m'est hostile ou c'est dans mon imagination... Mais pour des groupes humains ou des institutions, c'est plus complique : par exemple : l'unesco, l'eglise catholique, les palestiniens etc.