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Campus

Juifs et premiers chrétiens (2/3)

Quand le Talmud raconte Jésus (71 min)

Dan Jaffé - docteur en histoire des religions
  • Jésus dans la Talmud

    Josué ben Pérahia (7min)

  • Un texte déconcertant

    Analyse du passage (8min)

  • Un disciple des sages

    Version du Talmud de Jérusalem (9min)

  • La cause de la rupture

    Critique historique (9min)

  • Une auto-critique talmudique

    Pourquoi l'Egypte (7min)

  • Mea culpa du Talmud ?

    Pourquoi une brique (9min)

  • Le symbole du poisson

    Le proverbe du pendu (11min)

  • Sens du passage talmudique

    Regard des derniers talmudistes (7min)

Les documents (4)
Le conférencier
Biographie du conférencier

Dan Jaffé - docteur en histoire des religions

Dan Jaffé est né en 1970. Il est docteur en histoire des religions, maître de conférences en histoire juive à l’université Bar-Ilan, rattaché au centre national de la recherche scientifique (CNRS). Ses recherches portent principalement sur la société juive aux premiers siècles de l'ère chrétienne et la naissance du christianisme. (Mise à jour: novembre 2012)

Bibliographie du conférencier

Dan Jaffé

Essais sur l'interprétation et la culture talmudiques, (cerf, 2013)   Acheter

Studies in rabbinic Judaism and early Christianity : text and context , (Brill, 2010)   Emprunter

Jésus sous la plume des historiens juifs du XXe siècle, (Cerf, 2009)   Acheter

Le Talmud et les origines juives du christianisme: Jésus, Paul et les judéo-chrétiens dans la littérature talmudique, (Cerf, 2007)   Acheter

Le judaïsme et l'avènement du christianisme: Orthodoxie et hétérodoxie dans la littérature talmudique Ier-IIe siècles, (Cerf, 2005)   Emprunter

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L'organisateur
Commentaires ( 10 )

SOURDS

19 novembre 2012, 23h30, SOURDS

Y'A PAS DE SOUS/TITRE FRANCAIS POUR LES MALENTENDANTS ET SOURDS...

Hypothèse psychologique

1 janvier 2016, 12h34, Marc

Il m'apparait en premier lieu que l'argument chrétien est en réalité primitivement une diatribe contre la tradition, et qu'elle ne pouvait être réintégrée. A savoir que la critique chrétienne vise "l'action" juive, le comportement mais qu'elle le fait en opposant un autre comportement de façon insultante, voire profane et profanatrice en regard de ce qu'est la nature même du commentaire et de l'argument, et de la controverse. Vous monterez très bien ce procédé, encore à l’œuvre de nos jours selon lequel l'insulte accompagne un argument retourné contre celui qui l'émet sans rajout, ni apport autre que le sentiment d'être soi même insulté. Or le disciple se doit de respecter son maître, même si le vrai maître doit savoir reconnaître un apport supérieur de son disciple... Ce qui n'est pas le cas quoi qu'il en soit dans tous les éléments que vous rapportez. Non, je crois qu'il n'y a aucun regret dans l'attitude des talmudistes quant à ce qui aurait été trop tardif pour réintégrer des chrétiens, les judéochrétiens originels, tels que vos éléments en parlent utilisaient vraisemblablement la diatribe, et non Rabbi Meïr comme vous le dites, ou bien celui ci ne le fait il qu'en fin de non recevoir de la valeur de la diatribe relativement à l'argument. Ainsi on verra Mahomet utiliser le même procédé envers les juifs mais aussi les chrétiens et jésus... Merci de me répondre... Sylvain-Marc Pellas vitothefirst@yahoo. Fr.

J. Ben Perahia

13 avril 2017, 23h36, Daniel

Quel intérêt de prendre J. Ben Perahia finalement ?

Traité Sanhedrin 107 b

26 décembre 2017, 16h05, Daniel H

Bonjour professeur Dan Jaffé, je viens de voir votre cours, j'ai beaucoup aimé votre analyse du texte Talmudique ainsi que votre thèse très intéressante et pertinente. J'aimerais cependant comprendre la signification de certain passages du texte talmudique selon votre thèse : 1) Que signifie le dialogue entre le maitre et Jesus sur la question de la serveuse ? Est ce que le Talmud essayerais de nous montrer a travers ce dialogue l'origine de la divergence entre le Judaïsme et le Christianisme (si oui quelle en serait les conclusions) ? 2) Jesus revient vers son maitre au moment du Shema, que signifie le Shema, a quelle période correspondrait le Shema selon votre thèse ? 3) Que signifie le signe de main du maitre mal interpréter par Jesus, quelle est cette période dans l'histoire ou le Judaïsme à essayer de rapprocher le Christianisme ? Merci pour cette très belle analyse du texte.

Encore des questions

28 décembre 2018, 02h29, Morgenstern

Pourquoi les Anciens parlent ils si souvent de manière imagée, symbolique ? La recherche du sens serait elle si difficile qu'elle ne pourrait se faire que par touches successives ? La vérité enfermerait, sa recherche ouvrirait ? ou serait elle simplement hors d'atteinte ? Au delà ? Nous qui aimons les choses claires, faisant appel à la raison voire au simple bon sens, serions nous alors dans une impasse ? nous construirions nous une prison, un enfermement ?

La brique

12 février 2020, 18h37, Giorgio

L'auberge ne représente-t-elle pas tout simplement le Temple ? Jésus ayant quitté l'auberge, c'est-à-dire ayant été chassé du Temple, il ne lui reste plus pour prier que le plus petit élément qui constitue le Temple : la brique.

La brique

1 août 2021, 06h15, Mario

Matthieu 16:18, Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre (brique) je bâtirai mon Eglise,...

Réponse à la question 3) de Daniel H

1 août 2021, 07h28, Mario

Daniel H, Pour votre question 3). «3) Que signifie le signe de main du maitre mal interpréter par Jesus, quelle est cette période dans l'histoire ou le Judaïsme à essayer de rapprocher le Christianisme ?» Puisque Jésus ne peut se repentir d'avoir égaré Israël et que son maître lui fait signe de revenir de la main et du même coup lui demande de se repentir. Donc Jésus comprend qu'il ne pourra revenir vers son maître (et le Judaïsme). Il va donc créer sa propre Église, le Christianisme (brique). «Mar dit : “Jésus a pratiqué la sorcellerie, a séduit et a fourvoyé Israël» «Jésus revint vers lui plusieurs fois et lui disait : “Reprends-moi”, mais il ne lui prêtait pas attention.» Évidement puisque son maître sait que Jésus ne peut se repentir de ce qui lui est reproché. «Un jour, alors qu'il récitait le Shema, il [Jésus] vint devant lui, [Josué ben Parahyah] pensa l'accepter et lui fit un signe de la main.» Son maître décida d'accepter de lui accorder une ultime entrevue afin de lui faire réaliser, en lui demandant de se repentir, qu'il ne pourra plus revenir vers lui. «Josué ben Parahyah lui dit : “Repens-toi !” Il lui dit [Jésus] : “J'ai reçu de toi : Celui qui faute et qui fait fauter autrui, on ne lui donne pas les moyens de se repentir.”» «Il pensa [Jésus] qu'il était repoussé. Il sortit, dressa une brique (lebeinta) et se prosterna devant elle» Jésus compris finalement en cela, qu'il lui serait impossible de revenir à lui, il sortit donc et bâtit son Église, le Christianisme.

Interprétation et méconnaissance

15 juin 2022, 15h03, Rachel's

La Pensée émerge - l'esprit analyse - l'âme décide Extrait du récit de Judith Meyer Une jeune fille, née dans une famille catholique, et qui vit dans un contexte religieux pratiquant les évènements essentiels du Catholicisme, se retrouve un jour devant l'obligation, pour l'équilibre de son esprit et de sa conscience, de bousculer sa vie, en se reconnaissant le droit et le devoir d'avouer son désaccord à l'enseignement dispensé par un prêtre, convaincu et convaincant pour tous ceux qui voient en lui, l'homme de paix, ce qu'il essaie, sincèrement d'être, cherchant à mener ses ouailles vers celui qu'un certain Saül se présentant comme Paul aux yeux du Monde occidental, désigna comme le fils de Dieu, un homme reconnu ensuite par les Chrétiens comme étant le seul et unique Dieu de l'univers, allant, de ce fait, à l'encontre de l'idée d'un créateur, esprit illimité, invisible, et Seul décideur, pour donner une divinité à un humain, cet homme né au sein du peuple hébreu, tout en ôtant, gommant de la finalité d'un message, celui de la spécificité du dit messie. En ce qui concerne le contexte géographique, et le récit « dit » biblique de l'enseignement reçu, la curiosité d'Élisa, personnage central de la narration qui va suivre, lui permet déjà d'établir les comparaisons indispensables à une bonne compréhension du Christianisme (religion fondée sur l'enseignement, la personne, et la vie de Jésus Christ), savoir, entre la base historique des documents hébraïques, et les écrits ultérieurs à la Bible, les évangiles et les épîtres de Paul, rajoutés, selon ses déductions, pour s'accaparer la priorité de la reconnaissance de Dieu, mais d'un Dieu construit par l'homme (!!!) puisque d'une entité divine incommensurable, des êtres humains vont vouloir partager ce créateur invisible, inconnu et intouchable, en Père d'un seul fils matériel, et Saint-Esprit. Curiosité qui l'amène petit à petit à une conclusion personnelle, puisqu'elle se persuade, sans aucune éloquence, extérieure à son raisonnement, que le seul et véritable transcripteur de la loi établie depuis des milliers d'années reste sans conteste le peuple hébreu. Peuple choisi parce qu'en mesure d'accepter et d'observer les commandements divins, ces Tables de la loi écrites en hébreu, et données à Moshé nommé plus tard Moïse, le prophète des descendants du patriarche Abraham, de son fils Itz'hak qui engendre Yaacov, père des douze tribus d'Israël. Ce peuple qui est, au vu de la réalité historique, le premier à dévoiler à tous les hommes de la terre un manuscrit, un livre d'histoire, l'histoire d'Israël, autrement nommé : La Bible. Récit qui deviendra, dans sa totalité, un Ancien Testament, pour les peuples hors de la Judée Samarie. Cette volonté de respecter l'authenticité des écrits hébraïques envers et contre tous les obstacles oh combien nombreux, la guidera jusqu'à la découverte de certains de ses ascendants. Curiosité ? Appel ? Ce récit Est aussi et tout d'abord l'Algérie, berceau de son enfance. Ne dit-elle pas : « On a voulu m'arracher à cette terre qui m'a donné la vie, qui a façonné mon existence pendant vingt ans… l'équité était ailleurs que dans l'exil… Le soleil d'Alger ? À moi ! La terre d'Algérie ? À moi ! Les chaleurs étouffantes, la poussière, les pluies de mars ou les sauterelles du désert ? Encore à moi ! Je n'ai rien pris, rien volé ! … La providence se chargera, ensuite, de lui ouvrir la plus belle des portes, celle qui, toujours pour elle, mène au marchepied du jardin divin… La porte d'Israël. Autre vie, dans un autre programme. Mais… Revenons au début de cette histoire d'un amour hors du commun. D'entre toutes les épines, le Myrte reste le Myrte ! (Proverbe hébreu) Il en résulte donc qu'entre toutes les suppositions, la vérité absolue, celle qui n'est pas écrite de la main de l'homme, reste sans contestation. Laissons Élisa s'exprimer dans toute son authenticité ! - Et Rachel pleura ses enfants ! Bouleversant passage des écritures hébraïques, reprises dans un contexte chrétien. C'était il y a si longtemps ! Alors pourquoi est-ce à toi, Rachel, que je m'adresse aujourd'hui ? Pourquoi ton nom revient-il si souvent dans mes pensées ? Pourquoi ai-je en moi ce désir si fort à vouloir tout savoir du passé pour mieux comprendre ce chemin qui doit mener vers les délices de l'au-delà ? Mais pourquoi donc cette insistance à te dire : - Ne pleure plus Rachel, tes enfants te reviennent ! Je me trouve vite confrontée à un cas de conscience difficile. Il me faut, c‘est évident : Soit, accepter la fatalité de ma naissance, et continuer une existence selon les rites d'un enseignement religieux qui me déroute, Soit, admettre, dans la réalité d'un contexte reconnu par les diverses croyances monothéistes, les évidentes réponses qui émanent des interrogations de mon esprit et de mon raisonnement. Réponses que je trouve contraires à l'enseignement qui m'est inculqué depuis toujours. Faire semblant de croire ! Dire oui lorsqu'on pense non, c'est faire injure au Créateur qui a construit l'homme avec une intelligence dans le but que cet attribut puisse lui servir à frayer le chemin de sa vie. Conscience oblige, je ne dois plus désormais faire semblant de croire, parce que s'impose à moi, le discernement entre la croyance, les us et coutumes, la philosophie, et l'authenticité de l'histoire du peuple de la Bible, à savoir la transcription exacte du récit écrit il y a plus de quatre mille ans, récit hébraïque qui ne demande pas d'autres interprétations et surtout pas d'arrangement volontaire pour une manipulation visant à se retourner contre l'auteur du message. Dur combat qui ne trouve la victoire que dans la seule objectivité. Aurais-je la force de l'accepter, cette objectivité indispensable à toute recherche, qui pourrait peut-être m'éloigner de certains êtres aimés ? Évidemment pas dans l'affection, le respect, l'amour, mais dans la découverte d'une réalité historique que je revendiquerai parce qu'elle sera pour moi, le seul moyen de remonter le fil du temps jusqu'aux portes de la connaissance divine. Rachel ! Pour t'expliquer ce cheminement qui me permit un jour d'ouvrir la porte d'une maison pour aller parmi mon peuple, c'est-à-dire ton peuple, je dois retourner à la source de ma vie. Et la source de ma vie, c'est cette Algérie tant aimée, tant pleurée… Vingt ans de vie à te raconter avant de revenir vers cette lumière de l'âme qui me fait dire : - Shéma Israël !

Les attavismes ont donc parlé !

15 juin 2022, 15h48, Rachel's

Ces questionnements, n'étaient que le fruit de la Providence, puisque, après des années d'étude, grâce au merveilleux Hazan, Gérard Aouizérat, l'adn a parlé au moment où je m'apprêtais à entrer dans le Mikvé . - Monsieur le grand Rabbin, j'ai la preuve de la lignée maternelle, je dois entrer dans le Mikvé ? - Oh oui, chère dame,plus que jamais ! Comme c'est bon de revenir chez soi !

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Juifs et premiers chrétiens (2/3)

Quand le Talmud raconte Jésus

2 février 2011
(71 min)
Dan Jaffé - docteur en histoire des religions
  • 1/8
    Jésus dans la Talmud
    (7min)

    Josué ben Pérahia

  • 2/8
    Un texte déconcertant
    (8min)

    Analyse du passage

  • 3/8
    Un disciple des sages
    (9min)

    Version du Talmud de Jérusalem

  • 4/8
    La cause de la rupture
    (9min)

    Critique historique

  • 5/8
    Une auto-critique talmudique
    (7min)

    Pourquoi l'Egypte

  • 6/8
    Mea culpa du Talmud ?
    (9min)

    Pourquoi une brique

  • 7/8
    Le symbole du poisson
    (11min)

    Le proverbe du pendu

  • 8/8
    Sens du passage talmudique
    (7min)

    Regard des derniers talmudistes

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n°2 - Citation
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Yéhouda ben Tabaï et Jésus
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Le Conférencier
Dan Jaffé - docteur en histoire des religions
Dan Jaffé est né en 1970. Il est docteur en histoire des religions, maître de conférences en . . . Voir la bio complète
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SOURDS
le 19/11/2012, 23:30
Y'A PAS DE SOUS/TITRE FRANCAIS POUR LES MALENTENDANTS ET SOURDS...
Hypothèse psychologique
le 1/01/2016, 12:34
Il m'apparait en premier lieu que l'argument chrétien est en réalité primitivement une diatribe contre la tradition, et qu'elle ne pouvait être réintégrée. A savoir que la critique chrétienne vise "l'action" juive, le comportement mais qu'elle le fait en opposant un autre comportement de façon insultante, voire profane et profanatrice en regard de ce qu'est la nature même du commentaire et de l'argument, et de la controverse. Vous monterez très bien ce procédé, encore à l’œuvre de nos jours selon lequel l'insulte accompagne un argument retourné contre celui qui l'émet sans rajout, ni apport autre que le sentiment d'être soi même insulté. Or le disciple se doit de respecter son maître, même si le vrai maître doit savoir reconnaître un apport supérieur de son disciple... Ce qui n'est pas le cas quoi qu'il en soit dans tous les éléments que vous rapportez. Non, je crois qu'il n'y a aucun regret dans l'attitude des talmudistes quant à ce qui aurait été trop tardif pour réintégrer des chrétiens, les judéochrétiens originels, tels que vos éléments en parlent utilisaient vraisemblablement la diatribe, et non Rabbi Meïr comme vous le dites, ou bien celui ci ne le fait il qu'en fin de non recevoir de la valeur de la diatribe relativement à l'argument. Ainsi on verra Mahomet utiliser le même procédé envers les juifs mais aussi les chrétiens et jésus... Merci de me répondre... Sylvain-Marc Pellas vitothefirst@yahoo. Fr.