DIALOGUER AVEC LE CONFÉRENCIER
Vous souhaitez poser une question au conférencier sur le sujet traité, sur ses références bibliographiques, sur un point précis: utilisez le formulaire suivant pour envoyer votre message à Akadem qui - sous réserve d'acceptation - le transmettra au conférencier concerné.
Akadem ne peut évidement s'engager sur les suites que le conférencier décidera de donner à votre question.
Campus
Mort de Moïse, naissance de l'étude - n° 51
Vayele'h: le texte en éclats (23 min)
Sophie Bigot-Goldblum - Enseignante
Quand Dieu pleure
Sortir le peuple de son anesthésie (6min)
L'illusion de l'auto-suffisance
La mitsva de Hakel pendant Soukot (9min)
Des nains sur les épaules de géants
Mort de Moïse, naissance de l'étude (8min)
Sophie Bigot-Goldblum - Enseignante
Titulaire d’un master recherche de L’EHESS (Ecole des Hautes Études en Sciences Sociales), ainsi que d’un Master d’Études Juives de l’Université Hébraïque de Jérusalem, Sophie Bigot-Goldblum étudie à l’Institut Pardes, à Jérusalem.
COMMANDER CETTE CONFERENCE
Nous avons pris bonne note de votre intérêt pour cette conférence.
Nous allons procéder à sa numérisation et vous tenir informé.
Cette conférence apparaitra à une adresse privée que nous vous communiquerons et il vous sera possible de la visionner autant de fois que vous le souhaiterez.
Elle apparaîtra sous sa forme brute, c'est-à-dire sans aucun apparat critique (titres, documents, séquençages, bibliographies, liens etc.)
Akadem est intégralement financé par des subventions du Fonds
Social Juif Unifié et de de la Fondation pour la mémoire de la Shoah.
Si nous n'avons pas publié cette conférence, c'est entre autre faute de moyens financiers.
Si cette conférence peut vous être utile... un don à l'ordre de l'Appel unifié juif de France (l'organe de collecte du FSJU), sera très apprécié.
Pour votre information, le coût moyen d'une heure de numérisation et mise à disposition est de l'ordre de 20 €.
Merci de compléter le formulaire suivant.
- Akadem
Paris - 5 juillet 2019
- 1/3Quand Dieu pleure(6min)
Sortir le peuple de son anesthésie
- 2/3L'illusion de l'auto-suffisance(9min)
La mitsva de Hakel pendant Soukot
- 3/3Des nains sur les épaules de géants(8min)
Mort de Moïse, naissance de l'étude
Dialoguer avec le conférencier
Vous souhaitez poser une question au conférencier sur le sujet traité, sur ses références bibliographiques, sur un point précis: utilisez le formulaire suivant pour envoyer votre message à Akadem qui - sous réserve d'acceptation - le transmettra au conférencier concerné.
Akadem ne peut évidement s'engager sur les suites que le conférencier décidera de donner à votre question.
Dieu voile sa face
Les pleurs de Dieu
Amnésie hala'hique
Lecture publique de la Tora
écrire un commentaire 
Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.
Vaethananla PARACHA
1 octobre 2019, 16h55, RAPHAEL LEVY BENSOUSSAN
POURQUOI DEPUIS QU'ELLE TEMPS JE PEUX VOIRE LA PERSONNE QUI EXPLIQUE LA PARACHA AVANT JE POUVEZ VOIR LES COMMENTAIRES ET DEPUIS QU'ELLE TEMPS IL Y A QUE LE SON ES QUE SERAIS POSSIBLE DE RECTIFIER JE VOUS REMERCIE.
Du bon usage des midrashim
2 octobre 2019, 23h00, B. Vaisbrot
En effet avec certains navigateurs (Safari notamment), on ne peut consulter les documents qu'à l'arrêt, sinon leur consultation coupe l'image. Pour l'essentiel, l'exposé est très brillant, magnifiquement documenté, mais il aurait pu être dit en 30 minutes ou un peu plus, il serait plus facile à ingurgiter par les auditeurs/spectateurs. Je me permettrai cependant de modérer l'antropomorphisme de nos Textes sacrés. "D. Ieu pleure" veut dire : "nous nous sommes conduits de manière à faire pleurer un père", mais c'est une image qui nous est renvoyée pour nous faire comprendre notre erreur de comportement. De même lorsque le Déluge est décidé, D. Ieu "regrette" d'avoir créé les hommes, ou bien avant l'Exode d'Égypte, D. Ieu "se souvient" de peuple hébreu : en prenant ces expressions au pied de la lettre, on arrive vite à des contradictions. La brisure des Tables renvoie à la brisure des vases originels, comme si la réparation (Tikoun) était un passage obligé sans lequel l'Homme serait inutile, puisqu'imparfait face à un Dieu parfait. Encore bravo.