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Campus
La naissance du désir - n° 1
Berechit: Adam perd la raison (26 min)
Liora Huberman - biologiste
Adam perd la raison
Naissance de la subjectivité (9min)
Complexe nudité
Notre deuxième peau (7min)
L'utile "mauvais penchant"
Sans désir, pas de création (5min)
La technologie et l'art
Antidotes à la souffrance (5min)
Liora Huberman - biologiste
Liora Huberman est née à Paris en 1986. Elle habite aujourd’hui à Jérusalem avec son mari David et ses deux petites filles. Après une licence de biotechnologie, elle obtient un master en génétique et biochimie à l’institut Weizmann. Puis elle étudie le Talmud à Matan (Jérusalem) pendant quatre ans. Elle y a également donné un cours de Talmud pour femmes en français. Elle dirige actuellement le pôle scientifique d'une start-up dans le domaine médical et enseigne la Torah dans une midrasha.
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- Akadem
Paris - 14 septembre 2017
- 1/4Adam perd la raison(9min)
Naissance de la subjectivité
- 2/4Complexe nudité(7min)
Notre deuxième peau
- 3/4L'utile "mauvais penchant"(5min)
Sans désir, pas de création
- 4/4La technologie et l'art(5min)
Antidotes à la souffrance
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Amoureux de la vie
3 octobre 2017, 21h46, Georg Moch
Plus j’écoute les conférences d’Akadem, plus je me rends compte que le judaisme est amoureux de la vie. Quelle richesse et quelle beauté ! Merci Liora Huberman ! Georg Moch, Rastatt (Allemagne).
Cerner et discerner
7 octobre 2017, 09h25, Gérard Abitbol
Merci Liora Hubermann pour cet enseignement Grande construction du discours, forte érudition et clarté des explicationsL'émotion esthétique est en rapport avec le pourtour, (la peau)Mais c'est cette même émotion qui produira la capacité de comprendre ou discerner (l'esprit)Vous avez donné un magnifique commentaire sur tout cela en établissant le rapport avec la création et la procréation. C'est lumineux et passionnant. Merci Liora.
à lire, merci...
8 octobre 2017, 17h45, jean émile lemoine, Ph.D. (kibboutznik retraité)
Bonjour, chère Liora, votre conférence est très intéressante, mais je signale que "demoute" est la ressemblance, à ne pas confondre avec "tselem" qui est faussement traduit par image dans les bibles chrétiennes. Les vocabulaires des langues européennes ne possèdent pas du reste de mots pour pouvoir traduire "tselem", tant cette entité d'énergies imbriquées autour du "gouph" de "l'Adame" dépasse l'entendement cartésien. Mais le vieil homme que je suis vous encourage à poursuivre... Adonaï est avec vous. Barouh ha Shem.
MERCI
8 octobre 2017, 19h28, zelfa
Bonjour Merci pour cet excellent cours qui aborde plusieurs notions fondamentales lesquelles donnent envie de creuser dans la recherche de ce savoir afin de le mettre en pratique Merci encore pour tout ce qui a été abordé iciC'est courageux original et innatendu ! Prenons exemple de cette dame !
Merci
9 octobre 2017, 20h34, Pseudo
Tres beau commentaire.
Une belle annee en perspective
13 octobre 2017, 12h31, Marc
Un cours tres clair, une elocution agreable et le plaisir d'une merveilleuse annee de commentaires de la Tora qui s'annonce. Merci Akadem de laisser la place aux jeunes commentateurs cette annee encore ! Shana Tova a tousMarc.
Extraordinaire !
16 octobre 2017, 14h41, elisa
Fantastique ! Merci de diffuser des enseignements d'une telle profondeur d'une part et simplicité d'autre part. Tout est parfaitement compréhensible et clair. Merci. En vous entendant, on perçoit l'avenir du judaïsme francophone ; parce qu'il y en a bel et bien un et vous en faites inéluctablement partie. Une jeune génération bien prometteuse !
Commentaire très intéressant
20 octobre 2017, 00h30, Daniel T.
Merci pour ce commentaire extrêmement intéressant sur la première paracha de la torah, notamment pour un non-connaisseur. Il dévoile toute la profondeur de ces textes que l'on croit faussement familiers, notamment sur la relation homme-femme et la perte de la fusion primitive, sur le sens caché de la nudité corporelle, qui est en fait la peur de dévoiler à l'autre toute sa complexité et donc sa dangerosité intérieures, et que l'on recouvre d'une peau animale pour paraître plus apprivoisable, sur la nécessité de chasser l'homme du jardin d'Eden après la faute originelle pour lui permettre de réaliser ses nouvelles potentialités, etc. Il montre également qu'on ne peut saisir la profondeur du texte qu'en l'abordant par l'hébreu, qu'une traduction, quelle qu'elle soit, appauvrit considérablement la portée originelle. A mon humble avis, si cette paracha ouvre la torah, c'est probablement qu'elle recèle en elle les aspects fondamentaux de la condition humaine, qu'elle est là pour nous dire d'entrée ce qu'il y a de plus important, de plus fondamental dans notre condition. J'ai eu toutefois un peu de mal à saisir ce que vous entendez par jugement esthétique, et comment il s'articule avec les autres points. Cela mérite à mon sens des éclaircissements. Merci en tout cas pour l'ensemble du commentaire. Et continuez à nous faire profiter de vos connaissances et réflexions.
Toda rabba
16 mai 2019, 17h08, Hannah
Bonjour, je me disais déjà que les punitions de la sorite d'Eden pouvaient être perçues comme des constats de la réalité et non des ordres à subir, avec la différence que l'homme peut modifier la réalité. Votre commentaire apporte un très bel éclairage à cet égard !