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Campus
''Tu ne convoiteras pas'' - n° 17
Yitro: la pensée fautive (31 min)
Valérie Stessin - rabbin et aumônier des hôpitaux
Les dix paroles
Pour les hommes et pour Dieu (8min)
L'interdit de convoiter
Un rempart contre la dépossession (11min)
Fauter par la pensée
L'interprétation d'Ibn Ezra (8min)
Résister à la tentation
Fermer les yeux ou mieux voir ? (4min)
Valérie Stessin - rabbin et aumônier des hôpitaux
Valérie Stessin est née en 1964 à Paris et a grandi à Périgueux (Dordogne). Elle a fait son Alyah et obtenu une licence de l'Université Hébraïque à Jérusalem. Elle poursuit ses études à l'Institut Schechter pour les Etudes Juives et obtient un double master en Sciences du Judaïsme. En 1993, elle reçoit son ordination rabbinique (smi'ha) de l'Institut Schechter. Valérie Stessin a travaillé comme éducatrice en ex-U.R.S.S, puis a été directrice de projets pendant quinze ans à la Fondation Educative Tali, ensuite coordinatrice de la communauté Shira Hadasha. Elle est la présidente de Kehilat Maayanot - Communauté Massorati à Jérusalem et active dans l'association Women of the Wall – les Femmes du Mur. Depuis 2011, elle codirige l'association Kashouvot pour le développement du Soutien Spirituel en Israel. Valerie Stessin est aussi est aumônière à l'hôpital Hadassah Ein Kerem, à l'Hôpital Français à Jérusalem et enseigne dans différents cadres.
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- Akadem
Paris - 13 janvier 2015
- 1/4Les dix paroles(8min)
Pour les hommes et pour Dieu
- 2/4L'interdit de convoiter(11min)
Un rempart contre la dépossession
- 3/4Fauter par la pensée(8min)
L'interprétation d'Ibn Ezra
- 4/4Résister à la tentation(4min)
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Dix Paroles pour l’humanité
Convoiter le bien d'autrui
Les pensées interdites
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Transcender toutes choses
2 février 2015, 06h35, Betty
Regarder ce que l'autre possède nous renvoie également a ce que nous avons nous-même. Lorsque ce que nous possédons nous apparaît sans couleurs et sans "saveurs", alors nous nous en désintéressons. Nous en arrivons alors à convoiter ce que l'autre a de mieux et de plus. - Chaque jour doit être renouvelle comme un premier jour, comme "'un pauvre qui n'a qu'un seul habit, qui le porte d'un côté la semaine et le retourne le Chabbat".
Merci
3 février 2015, 06h05, maryse
Les femmes qui se couvrent de ce voile noir pour se proposer à la convoitise des hommes en vociférant par leur accoutrement un interdit sont loin d'avoir trouvé la solution... Ce qui est caché attire bien plus la convoitise ; ; convoiter et être convoitée n'implique pas la même frustration... Aujourd'hui le voile expose la femme au regard du prédateur, Y aurait-il un prédateur en chaque homme ? La mise en garde des dix paroles semble dire que oui. Il faut donc dissocier ce qui m'appartient de ce qui appartient à l'autre. Et ne pas convoiter ce qui appartient à l'autre, ce ui fait sa puissance... Ici le texte qui énonce l'interdit devient inépuisable puisqu'il s'agit de nous mettre à l'abri de la jalousie. La jalousie freine les possibilités de la fraternité... Et votre conclusion souligne ce point avec finesse et discrétion.
La convoitise à ma compréhension par Roger/Belgique
3 février 2015, 12h54, roglombo
Il suffit de regarder autour de soi pour se rendre compte que j'ai reçu de Yahweh tous les biens qui constituent mon patrimoine. Par ailleurs, mon regard par rapport au patrimoine d'autrui que je crois malheureusement être mieux que le mien serait reprochable. Ceci me pousse (par convoitise) à porter un jugement d'injustice non pas par rapport à autrui mais par rapport à celui qui est la source de tout bien et de toute bénédiction" Elyireh". En Ps 50. 10 ; 16-21. Chacun doit donc se contenter de ce qu'il a reçu car il n'y a rien de ce que tu possèdes qui soit venu de toi seul. Une telle attitude m'évite de condamner à tort Yahweh.
Paracha
4 février 2015, 05h13, Françoise Michaelis
Merci Valérie pour votre beau et si sensible commentaire !
Merci
5 février 2015, 16h47, Yaararoz
Une tres belle lecon d'humanisme.
Convoitise ou consommation ?
8 février 2015, 15h08, gil
Désirer consommer n'est pas, à mon sens, convoiter et encore moins convoiter le bien de son prochain (ou de l'ami ou du compagnon ce qui traduit mieux le terme hébreu). Les biens de consommations, même apparemment futiles, s'ils sont désirer pour eux même et non parce qu'ils appartiennent à un ami ne constituent pas une transgression de ce dixième commandement. Ce qui à mon avis constitue une transgression c'est de voir en l'autre un être plus favorisé que nous, mieux doté, en un mot supérieur, alors que la loi ne nous enjoint pas d'aimer notre prochain plus que nous-même. Derrière tout ascétisme se cache bien souvent une haine de la vie et en dernier recourt une haine de soi. Le judaïsme s'est toujours plus ou moins méfié de cela. La torah est bien souvent un pur hymne à la vie.