DIALOGUER AVEC LE CONFÉRENCIER
Vous souhaitez poser une question au conférencier sur le sujet traité, sur ses références bibliographiques, sur un point précis: utilisez le formulaire suivant pour envoyer votre message à Akadem qui - sous réserve d'acceptation - le transmettra au conférencier concerné.
Akadem ne peut évidement s'engager sur les suites que le conférencier décidera de donner à votre question.
Campus
Agir face aux malheurs - n° 50
Ki Tavo: le mystère de la souffrance (28 min)
Shaul-David Botschko - rabbin, enseignant du judaïsme
L'incompréhensible souffrance
Agir face à l'injustice (7min)
Les "douleurs d'amour"
La souffrance comme détonateur (11min)
Œuvrer face à la souffrance
Quand le monde reste silencieux (10min)
Shaul-David Botschko - rabbin, enseignant du judaïsme
Shaul-David Botschko est petit-fils du fondateur de la Yéchiva Ets Haim de Montreux, en Suisse et fils du fondateur de la Yéchiva Hechal Elyaou à Kohav Yaacov. Il a créé la Yéchiva Ets Haim en France.Il émigre en Israël où il prend la direction de la Yéchiva familiale.Il a publié plusieurs ouvrages dont A la Table de Chabbat et Lumières de Rachi aux éditions Bibliophane ainsi que Responsa.NET, un ensemble de questions réponses couvrant tous les sujets.Shaül-David Botschko a été lauréat du prix Jérusalem de l'éducation en 1989. (Mise à jour: juillet 2005)
COMMANDER CETTE CONFERENCE
Nous avons pris bonne note de votre intérêt pour cette conférence.
Nous allons procéder à sa numérisation et vous tenir informé.
Cette conférence apparaitra à une adresse privée que nous vous communiquerons et il vous sera possible de la visionner autant de fois que vous le souhaiterez.
Elle apparaîtra sous sa forme brute, c'est-à-dire sans aucun apparat critique (titres, documents, séquençages, bibliographies, liens etc.)
Akadem est intégralement financé par des subventions du Fonds
Social Juif Unifié et de de la Fondation pour la mémoire de la Shoah.
Si nous n'avons pas publié cette conférence, c'est entre autre faute de moyens financiers.
Si cette conférence peut vous être utile... un don à l'ordre de l'Appel unifié juif de France (l'organe de collecte du FSJU), sera très apprécié.
Pour votre information, le coût moyen d'une heure de numérisation et mise à disposition est de l'ordre de 20 €.
Merci de compléter le formulaire suivant.
- Akadem
Paris - 27 juin 2014
Ki Tavo: le mystère de la souffrance
- 1/3L'incompréhensible souffrance(7min)
Agir face à l'injustice
- 2/3Les "douleurs d'amour"(11min)
La souffrance comme détonateur
- 3/3Œuvrer face à la souffrance(10min)
Quand le monde reste silencieux
Dialoguer avec le conférencier
Vous souhaitez poser une question au conférencier sur le sujet traité, sur ses références bibliographiques, sur un point précis: utilisez le formulaire suivant pour envoyer votre message à Akadem qui - sous réserve d'acceptation - le transmettra au conférencier concerné.
Akadem ne peut évidement s'engager sur les suites que le conférencier décidera de donner à votre question.
La souffrance du juste
Le sens de la souffrance

écrire un commentaire 
Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.
Avancer sans la souffrance
14 septembre 2014, 10h11, langomazino Haya-Léa
Magnifique explication du Rav Botchko, toujours aussi claire, aussi purement "pshat" au sens de Rachi, Voilà un homme "tam", dont les paroles ouvrent à la réflexion et provoquent non seulement le désir de l'étude mais aussi le désir de l'agir.
La souffrance
17 septembre 2014, 11h13, Hanneva
Merci beaucoup pour cette leçon sur la souffrance. Je me permets de vous faire part de ma petite réflexion, basée seulement sur mon expérience. Il me semble que lorsque notre esprit souffre et que cette douleur psychique devient intense, alors Dieu nous envoie parce qu’il nous aime, un « tourment d’amour », c’est-à-dire une souffrance physique tellement forte, que l’on se surprend au plus profond de la douleur de souhaiter la mort, mais lorsque notre désir de vivre est grand, l’on ne veut qu’une chose : que cette souffrance s’arrête. C’est pour cette raison que même les Grands Rabbanims disent à propos de leurs souffrances : « " Ni elles, ni le mérite que je pourrais en tirer". »Quand la douleur de notre corps disparaît, on se rend compte que la douleur de notre esprit s’est anesthésiée. Et l’on remercie Dieu de nous donner une nouvelle chance de vivre, on revient sur son chemin de Lumière et de Grâce.