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Campus
Face au christianisme - n° 8
Difficile réconciliation (Vayichla'h) (35 min)
Yeshaya Dalsace - rabbin de la communauté massorti
Le prophète Obadia
Face à Edom (6min)
La portée prophétique du texte
Actualité d'un texte (6min)
L'enseignement du mépris
La longue marche vers le Génocide (6min)
Relecture d'Obadia
Un difficile examen de conscience (11min)
Rendre la royauté à l'Eternel
Jacob doit tendre la main à Esaü (4min)
Yeshaya Dalsace - rabbin de la communauté massorti
Yeshaya Dalsace est né en 1965. Il suit des études de droit, une licence d'hébreu, et entre sur concours au Théâtre National de Chaillot sous la houlette d'Antoine Vitez et le suit à la Comédie française.Il s’installe en Israël, et est ensuite journaliste à la section française de Kol Israël pendant 4 ans et correspondant de L'Arche. A la recherche d'un judaïsme plus ouvert, il est accepté comme boursier pour suivre une formation de cinq années en Master en Etudes Juive à l'institut Shechter de Jérusalem et obtient le diplôme rabbinique du mouvement Massorti.Dans le même temps, enseigne l'Art Dramatique à l'Université Hébraïque de Jérusalem et y fait de nombreuses mises en scène.En octobre 2000, il revient en France comme rabbin de la communauté Maayane Or à Nice.Depuis 2010, il est rabbin de la communauté massorti de l'Est parisien, DorVador. (Mise à jour: mars 2005)
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Egypte miroir d’Israël - n° 15
Survivre à la destruction (Bo) (38 min)
Yeshaya Dalsace, rabbin Paris

Quand Dieu aime Israël - n° 7
Un amour indéfectible (Vayetse) (35 min)
Yeshaya Dalsace, rabbin Paris
Léon Poliakov
Histoire de l'antisémitisme, tome 1: l'âge de la foi, (Seuil, 1991) Acheter
Jacques Kohn
La Haftara commentée: recueil de commentaires sur les haftarot de l'année, (Institutions privées Yad Mordekhaï, 1997) Acheter
Gérard Israël
La question chrétienne: Une pensée juive du christianisme, (Payot, 2002) Acheter
Louis Ginzberg
Les Légendes des Juifs, (Cerf, 28 septembre ), 2006) Acheter
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Yeshaya Dalsace, Structure du corpus biblique (Akadem - Paris, novembre 2007)
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Difficile réconciliation (Vayichla'h)
- 1/5Le prophète Obadia(6min)
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- 2/5La portée prophétique du texte(6min)
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- 3/5L'enseignement du mépris(6min)
La longue marche vers le Génocide
- 4/5Relecture d'Obadia(11min)
Un difficile examen de conscience
- 5/5Rendre la royauté à l'Eternel(4min)
Jacob doit tendre la main à Esaü
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Esaü-Edom
Qui sont les premiers chrétiens?
La Synagogue aux yeux bandés
L’homme du dialogue judéo-chrétien
Chronologie de la destruction
La rouelle
Celui qui sauve un homme sauve le monde (traité Baba Batra, 15b, Talmud)
Les "silences" de la papauté
Cuba refoule les juifs
Le dialogue judéo-chrétien (1946-2006)
Un pape de dialogue
L’accord fondamental entre le Saint-Siège et l’Etat d’Israël
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Sitographie
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Judaïsme et christianisme
3 décembre 2012, 13h44, Léa Vidal
Depuis plusieurs années éloignée de l'Eglise catholique, j'ai appris de vous le 1er décembre 2012 que le Pape Benoît XVI a demandé aux catholiques d'apprendre auprès des juifs. Cette demande a-t-elle été répercutée là où elle touche le plus grand nombre : les prêches dominicaux ? Je ne saurais évidemment le dire. Cependant, peut-on vraiment recevoir vos enseignements et rester vraiment chrétien ? Je ne le pense pas. Paul écrivait aux Corinthiens : "Si le christ n'est pas ressuscité, vide alors est notre message, vide aussi votre foi. Il se trouve même que nous sommes de faux témoins de Dieu, puisque nous avons attesté contre Dieu qu'il a ressuscité le christ... Si le christ n'est pas ressuscité, vaine est votre foi ; vous êtes encore dans vos péchés... " (1Co15, 14. 17). Bien sûr Jésus n'est pas Paul et d'aucun disent que c'est ce dernier qui a vraiment fondé l'Eglise ; il n'empêche... Judaïsme et christianisme ne peuvent avoir raison ensemble. Pour ma part vous m'avez convaincue et je revendique mon appartenance aux Bnei Noah.
Difficile réconciliation
5 juin 2013, 16h27, aretzmarie@yahoo.fr
Je suis chrétienne pratiquante et pour moi le retour à ma racine juive" spirituelle" est indispensable, et je pense qu'il y a de plus en plus de chrétiens conscients. Pour cela j'ai appris et me perfectionne en hebreupour alimenter ma foi au contact de ce trésor. Le peuple chrétien n'a pas remplacé le peuple juif parce qu'ila encore un rôle à jouer dans l'histoire, et beaucoup à nous apprendre. Nous sommes tous des chercheurs de vérité (Dieu seul est la vérité !) et seul le dialogue, la connaissance et le respect de ce chemin à chacun permet d'avancer, et ôter les préjugés. L'AMOUR EST PATIENT DIT TOUTE LA BIBLE, alors juifs et chrétiens réalisons le projet de Dieu pour l'humanité.
Sr Marie-Reine, moniale bénédictine en Martinique
23 novembre 2015, 01h19, Ethel van Deth
Comme religieuse chrétienne, mais de famille juive, je suis les enseignements d'Akadem avec assiduité et très grand intérêt. Etant moniale contemplative, je prie tous les jours les psaumes en union et communion avec mon peuple. Oui, soyons en quête de Dieu, là est la vérité et la joie.
Les deux témoins
8 septembre 2016, 11h00, Rama
Merci à Akadem de permettre à tous, dont les chrétiens, d'accéder aux interprétations rabbiniques de la Bible ainsi qu'à la culture du peuple qui essaie d'inscrire chaque jour dans le réel de sa vie ces Paroles. Je fais partie d'une église chrétienne qui observe le shabbat et les règles alimentaires bibliques. Paul rappelle à ceux qui ont reconnu en Jésus le Messie qu'ils sont comme des oliviers sauvages greffés sur l'arbre franc et ne doivent pas s'en enorgueillir et mépriser les juifs. Comme vous dites, juifs et chrétiens ont leurs places respectives et si les deux sont dans le Nom, ils peuvent témoigner du Dieu qui vient, Celui qui aspire au shalom pour tous les hommes. C'est la vocation d'Israel et des chrétiens.
La loi et Jésus
11 novembre 2018, 08h52, MRose
Bonsoir, Je suis convaincue que Jésus est venu accomplir la loi juive. Je suis vos enseignements (et je me régale), pour comprendre cette loi et donc j'apprends à vs connaitre et ne peux que vous respecter. A votre tour je pense que le message de Jésus (qui n'a jamais renier son peuple) peut aussi vous aider à vs connaitre et éclairer la loi de Dieu, et malgré les douleurs du passé nous accueillir, dans notre différence. Personne n'est à la hauteur de ce message si profond de la bible, on est tous en marche ! MERCI.
Difficile réconciliation
12 décembre 2019, 06h04, Josué - cirape
Rav, vous ne parlez pas de l'Islam, qu'en est-il de l'islam grand destructeur de juifs, et aussi de chrétiens ? J'attends avec impatience un commentaire de votre part. Respectueusement.
Que signifie vraiment être le frère aîné ?
18 décembre 2019, 04h08, Guylain-David Sitbon
C'est une remarquable réflexion que nous propose le Rabbin Dalsace à partir du texte de Obadia. Je veux bien "obéir" à l'injonction de Manitou et suis plein de "charité chrétienne" à l'égard du christianisme mais je me sens aussi au bord du chemin en position d'observateur -non pas d'un massacre... Comme vous l'avez évoqué pour les Juifs- mais plutôt de la manière dont est relevé par le christianisme le défi théologique posé par la Shoah et plus encore -et vous n'en parlez absolument pas, pourquoi ? - celui posé par la Re-naissance d'une souveraineté juive en Eretz Israel. Léa Vidal a raison quand elle dit qu'il y a là une impossibilité fondamentale. J'ai connu au moins un ami chrétien qui a fait ce chemin et sa vie a été -si j'ose dire mais dans un tout autre sens une sorte de chemin de croix à l'envers, un retour permanent vers la source juive accompagné de grandes difficultés existentielles au sein de sa paroisse-Il est exact aussi que la positon officielle de l'Eglise n'a pas forcément fait son chemin dans les paroisses ni dans les coeurs. Je suis beaucoup moins optimiste sur l'interprétation que le rabbin Dalsace donne -et il n'est pas le seul-de la reconnaissance par Jean-Paul 2 lorsqu'il a dit à la synagogue de Rome que les Juifs étaient "notre frère aîné". Je crois que c'est un exemple parfait de l'ambiguïté de la position de l'Eglise -qui reconnaît Israel sans vraiment le reconnaître-. Au-delà de la politique ou de la géopolitique je me demande dans quelle mesure Jean-Paul 2 qui était fin théologien n'était pas précisément entrain de "confisquer" l'interprétation juive de l'aînesse dont on sait qu'elle ne correspond pas à l'aînesse biologique. A cette aune cette parole prend une toute autre dimension... Beaucoup moins sympathique...