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Repères bibliques - Cours N°13/14
Le monde juif et l'Islam (30 min)
Claude Riveline - chercheur en sciences de gestion
Les textes fondateurs de l'Islam
Le rapport à Israël dans le Coran (12min)
Le statut du peuple juif
L'exemple des dhimmis (4min)
L'âge d'or médiéval
Une période féconde (5min)
Le morcellement de l'empire musulman
et le déclin des relations à partir du XIIème siècle (4min)
Renaissance de la fierté arabe
Une formidable richesse humaine (5min)
Claude Riveline - chercheur en sciences de gestion
Claude Riveline est ancien élève de l’École polytechnique, ingénieur général des mines honoraire, professeur et chercheur en sciences de gestion à l’École des mines de Paris où il a fondé dans les années 1960 le Centre de gestion scientifique. Il a été l’élève de Léon Askénazi (Manitou), de Théo Dreyfus, d’Émeric Deutsch et du rabbin Daniel Gottlieb. Nommé “H’aver” par le Grand rabbinat de France en 1980, ilparticipe activemnent à la vie intellectuelle de la communauté juive française.
Claude Riveline
Conception juive de Dieu, (Association Consistoriale Israélite de Paris, 2010) Emprunter
Regard juif sur les non-juifs, (Association Consistoriale Israélite de Paris, 2007) Emprunter
Idées, tome 1, (Broché, 2006) Acheter
Le Temps désorienté : données et débats, actes, (Albin Michel, 2005) Acheter
La laïcité dépassée. Commentaires sur Kohelet, (Association Consistoriale Israélite de Paris, 2005) Emprunter
Le corps en question: réflexions sur les rituels juifs, (ACIP, 2002) Emprunter
L'Amour dans la tradition juive, (Association Consistoriale Israélite de Paris, 2000) Emprunter
Petit traité pour expliquer le judaïsme aux non-juifs, (Association Consistoriale Israélite de Paris, 1997) Emprunter
Le “quant-à-soi”, (Denoël, 1991) Emprunter
La question de l’Etat, (Denoël, 1989) Emprunter
L’argent, (Denoël, 1989) Emprunter
Idoles, (Denoël, 1985) Emprunter
Politique et religion, (Gallimard/Congrès Juif Mondial, 1981) Emprunter
Communauté musulmane, (PUF, 1978) Emprunter
Le modèle de l’Occident , (PUF, 1977) Emprunter
Le Shabbat dans la conscience juive, (PUF, 1975) Emprunter
J'observe le chabatt, (OSM, 1974) Emprunter
Tentations et actions de la conscience juive, (PUF, 1971) Emprunter
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Jonas prie l’Eternel (28 min)
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Prier le matin (30 min)
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Maïmonide
Le Guide des égarés, suivi des Huit chapitres, (Verdier, 1983) Acheter
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1492, l'expulsion des Juifs d'Espagne, (Maisonneuve & Larose, 1996) Acheter | Emprunter
Claude Cahen
L'Islam, des origines au début de l'Empire ottoman, (Hachette Littérature, 1997) Acheter
Ili Gorlizki
Maïmonide - Averroès: Une correspondance rêvée, (Maisonneuve Et Larose, 2004) Acheter
Yves Ternon
Empire ottoman: Le déclin, la chute, l'effacement, (Editions du Félin, 2005) Acheter
Haï Bar-Zeev
Une lecture juive du Coran, (Berg International, 2005) Acheter
Shmuel Trigano
Le Monde sépharade, sous la direction de, (Seuil, 2006) Acheter
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Une période féconde
- 4/5Le morcellement de l'empire musulman(4min)
et le déclin des relations à partir du XIIème siècle
- 5/5Renaissance de la fierté arabe(5min)
Une formidable richesse humaine
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Le statut de dhimmi
Le Commentateur d'Aristote


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Il n'y a pas 2 Corans mais un seul avec une cohérence
25 novembre 2012, 13h12, Ismael
Le Coran s’étend longuement sur les Enfants d’Israël (Banî Isrâ’îl et reconnaît que les Juifs (Al-Yahûd) sont, d’après leur généalogie, les descendants du Prophète Abraham à travers son fils Isaac et son petit-fils Jacob, paix et bénédiction sur eux. Les Juifs furent choisis par Dieu pour remplir une mission : « À bon escient, Nous les choisîmes parmi tous les peuples de l’univers » (sourate 44 intitulée la Fumée, Ad-Dukhân, verset 32). Dieu suscita parmi eux de nombreux prophètes et leur accorda ce qu’il n’accorda pas à de nombreux autres peuples : « (Souvenez-vous) lorsque Moïse dit à son peuple : ‹Ô, mon peuple ! Rappelez-vous le bienfait de Dieu sur vous, lorsqu’Il a désigné parmi vous des prophètes. Et Il a fait de vous des rois. Et Il vous a donné ce qu’Il n’avait donné à nul autre dans les mondes. » (sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, verset 20). Il les éleva au-dessus d’autres nations de la Terre, et leur accorda un grand nombre de faveurs : « Ô Enfants d’Israël, rappelez-vous Mon bienfait dont Je vous ai comblés, (rappelez-vous) que Je vous ai préférés à tous les peuples (de l’époque). » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 47). Les passages coraniques critiquant les Juifs se subdivisent principalement en deux catégories : Premièrement, le Coran parle de la manière dont les Enfants d’Israël se détournèrent du message authentique qui leur avait été révélé. Ils désobéirent à Dieu et se montrèrent ingrats face aux faveurs divines qui leur avaient été accordées. Ils perdirent la Thora (Tawrâh) originelle et introduisirent leurs propres mots et leurs propres interprétations dans les livres divins. Ils devinrent arrogants et prétendirent qu’ils étaient les fils de Dieu ; ils ne cessaient de vanter leur position de peuple élu de Dieu (4 : 155 [2] ; 5 : 13, 18 [3]). Ils commirent également effrontément des péchés que leurs rabbins et docteurs ne tentèrent pas d’empêcher (5 : 63, 79 [4]). Dieu suscita parmi eux Son Prophète Jésus afin qu’il leur montre plusieurs miracles et qu’il les guide vers le droit chemin. Cependant, ils le refusèrent, essayèrent de le tuer, et prétendirent même qu’ils l’avaient effectivement tué bien qu’ils en furent incapables (4 : 157-158 [5]). Dans un grand nombre de ces passages, Dieu s’adresse spécifiquement aux Enfants d’Israël. Il est très important de noter cela, dans la mesure où cela montre que le Coran est destiné au monde entier et en particulier aux Juifs : les critiques sont ainsi dirigées contre un groupe de gens spécifique pour leurs actions spécifiques. Il faut distinguer ces critiques d’une malédiction jetée contre un peuple, simplement à cause de sa race. Deuxièmement, concernant la critique des Juifs, qu’on peut trouver dans des passages ceux-ci S5 : 60-64 [1], il faut noter que de tels versets critiquent les Juifs et les Chrétiens qui ridiculisaient le Prophète Muhammad, paix et bénédiction sur lui, et son message. Ils raillaient son appel à la prière et se moquaient de lui. Ils lui faisaient des remontrances à chaque fois qu’il les invitait à croire en ce que Dieu lui avait révélé et en ce qui avait été révélé avant lui à leurs propres prophètes. Ils devinrent vindicatifs envers lui et le rejetèrent car n’étant pas issu de la souche israëlite (2 : 109 [6] ; 4 : 54 [7]). Le Coran fait remarquer que de telles critiques ne sont pas dirigées contre l’ensemble des Juifs. Même lorsque le Coran critique les Juifs, il ajoute qu’ « il est, parmi les gens du Livre, une communauté » de pieux et de vertueux, ordonnant le convenable et interdisant le blâmable, qui tentent de s’encourager les uns les autres à atteindre l’excellence, et ce, par des actions de charité et de bonté. Le Coran dit que de telles personnes sont assurées que quoiqu’elles fassent de bien, rien ne leur sera dénié et qu’elles recevront entièrement leur récompense de la part de Dieu (3 : 113-115 [8]). Prendre quelques passages du Coran, en les sortant de leur contexte historico-textuel ne peut mener à une compréhension exacte de cette écriture religieuse. Cela n’est pas vrai uniquement pour le Coran, mais également pour la Bible. De nombreux passages bibliques critiquent également les Juifs. Il vous suffit de lire la Bible Hébraïque, en particulier les livres de Michée (3 : 1-12 [9]) et d’Osée (8 : 1-14 [10]) dans lesquels ces prophètes condamnent les Juifs « qui exécrent la justice et qui tordent tout ce qui est droit » et qui « construisent Sion avec le sang et Jérusalem avec le crime ». Ces prophètes ont maudit Israël, la décrivant comme un « vaisseau inutile parmi les nations ». Ils ont demandé à Dieu de la maudire en « envoyant le feu dans les villes [de Juda] » et en réduisant Jérusalem à devenir « un monceau de décombres ». De la même manière, dans le Deutéronome, Moïse avertit Israël que Dieu « enverra contre toi la malédiction, le maléfice et l’imprécation dans tous tes travaux, de sorte que tu sois détruit et que tu périsses rapidement, pour la perversité de tes actions, pour m’avoir abandonné. » (Deutéronome, chapitre 28, verset 20). Dans l’Evangile de Matthieu (23 : 13-39 [11]), Jésus réprimande continuellement les Juifs pour leur hypocrisie et leur injustice, et les condamne pour les meurtres qu’ils commirent contre les anciens prophètes. Jésus dit : « Jérusalem, Jérusalem, toi qui tues les prophètes et lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants à la manière dont une poule rassemble ses poussins sous ses ailes... , et vous n’avez pas voulu ! ». Cela paraîtrait pour le moins étrange si quelqu’un, se fondant sur ces passages, déclarait que la Bible et les prophètes hébreux étaient antisémites et qu’ils appelaient à l’élimination de l’actuel peuple d’Israël. Par conséquent et de la même manière, contester des passages coraniques en les accusant d’être antisémites est infondé. »Et Dieu est Le plus Savant.
Profession de foi ne doit pas seulement être dite mais crue aussi / statut apostasié en Islam
25 novembre 2012, 14h10, Ismael
1/ shahada : Cette confession de foi musulmane est très brève : Elle consiste pour le croyant, en toute connaissance de cause et non sous la contrainte, à accepter et proclamer qu'il n'est pas d'autre dieu que Dieu ou Allah ; et Mahomet est son prophète. La Chahada est l'essence même de la religion musulmane. Elle est une attestation sincère, un double témoignage. C'est de par cette formule que l'Homme atteste en premier lieu qu'Allah est Unique, sans associés. Ce fondement renvoie à l'idée mal comprise dans l'Islam de la Trinité catholique. L'adoration portée vers Allah est exclusive, c'est le culte pur et la reconnaissance du Tawhid (unicité). En second lieu, l'Homme atteste et témoigne en toute connaissance et sous aucune contrainte que Mohamed Ibn Abdallah (saw) est bien le Messager d'Allah, qu'il est le dernier des Prophètes ainsi que le porteur du dernier message divin : Le Coran Sacré. Saisir ce fondement principal est vital pour une bonne compréhension de l'Islam car tous les actes d'adorations ou les actes de tous les jours sont liés à ce pilier. 2/ les apostasiés en Islam : Deux hadiths (paroles du Prophète) rapportent de l'exécution de l'apostat : Le premier est celui rapporté par A'krama Mouli Ibn Abbas disant : « Celui qui change de religion, tuez-le » Sahîh Bukhari, vol. 9, livre 84, numéro 57, rapporté par A'krama Mouli Ibn AbbasUne critique fréquente à l'encontre d'A'krama Mouli Ibn Abbasfont est qu'il n'avait que 13 ans à la mort de Mahomet et donc que ses écrits ont peu de chance d'être fiables. Le deuxième est celui rapporté par Abdullah disant : « Le sang d'un musulman, qui accepte qu'il n'y a d'autre Dieu qu'Allah et que je suis Son prophète, ne peut être versé que dans trois conditions : en cas de meurtre, pour une personne mariée qui s'adonne au sexe de manière illégale, et pour celui qui s'éloigne de l'islam et quitte les musulmans ». Sahîh Bukhari, vol. 9, livre 83, numéro 17, rapporté par AbdullahDu temps de Muhammad, tous ceux qui quittaient l'islam rejoignaient systématiquement les tribus ennemis des musulmans pour se battre à leurs côtés et donc devenaient les ennemis des musulmans. Ce qui pousse de nombreux musulmans à dire que les deux citations justifient la peine de mort pour les musulmans apostats uniquement dans ce contexte-là.
Historique compilation Coran
25 novembre 2012, 14h20, Ismael
A la mort du Prophète, le Coran était compilé en une oeuvre, écrit en totalité sur des supports divers et épars (pierre, feuille de palmier, cuivre, os de bête mort, peau séché). Les textes étant structurés de manière anachronique, il était plus pratique de classer les versets par support distinct afin de s'y retrouver beaucoup plus facilement. Le Prophète lui-même n'a pas utilisé cette méthode d'archivage (non parce qu'il n'y avait pas pensé) parce qu'il n'en a pas eu le temps. En effet, le moment qui s'est écoulé entre la dernière révélation et la mort du Prophète était extrêmement court. La mort de nombreux compagnons connaissant le Coran par coeur lors des "Houroûb ar-ridda" (batailles de l'anathème) qui avait éclaté dès le début du règne du calife Abou Bakr a poussé'Omar à proposer au Calife de rassembler le Coran en un Livre qui servira de "référence", afin d'éviter sa disparition (alors même que Dieu a promis que le Livre sera éternel !). Le Calife confia donc la tâche à un jeune compagnon Zayd ibn thâbit qui était, à la fois, l'un des scribes et l'un de ceux qui avaient mémorisé le Coran en entier. Il lui fixa également la méthode de travail suivante : Vérifier, pour chaque document écrit, s'il a été bel et bien écrit en présence du Prophète (). Et ce en demandant la confirmation de deux témoins occulaires. Faute de quoi, le document ne peut être retenu comme base pour le recopiage du CoranConfronter l'écrit, reconnu valable, avec la mémorisation de ceux qui connaissaient le mieux le Coran par coeur (al-Qourrâ)Un an plus tard, environ, Zayd remis le fruit de son travail au Calife. Une copie assemblée sur des feuillets va être gardée par les califes successifs (Abou Bakr, puis'Omar). A la mort de ce dernier, en 643 / 23 H. (12 ans après la mort du Prophète (), le calife qui allait succéder n'étant pas encore choisi, 'Omar demanda que la copie soit remise à sa fille et veuve du Prophète : Hafça. Au début de son califa, le territoire musulman s'étend déjà jusque sur l'Afrique du Nord et sur l'Asie. Les convertis de chaque région ont appris des passages du Coran auprès du ou des çahaba (compagnons du prophète Muhammad) installés chez eux. Or, il existe des variantes de prononciations entre les lectures des différents çahaba, car la lecture du Coran leur a été ainsi enseignée par le Prophète lui même. Un an après le début du califat d'Othmâne, à l'occasion de la rencontre entre deux détachements militaires, l'un originaire de l'Irak et l'autre de Syrie, une grande divergence entre eux, au sujet de ces variantes de prononciation, surgit. Chaque clan, étant sûr de sa source, pensait que l'autre était dans l'erreur. Dès que'Othmâne eu connaissance de la nouvelle, il décida de charger une commission de quatre membres, présidée par Zayd ibn Thâbit, de reproduire plusieurs exemplaires de la copie gardée jusque là par Hafsa en y intégrant les différentes variantes de lecture. Chaque exemplaire fût envoyé à une province, accompagné d'un enseignant, parmi les çahaba, connaissant le Coran par coeur. Ceci fait, et afin d'éviter toute éventualité de divergence ou de confusion ultérieure, il ordonna à tout les détenteurs de copies personnelles (complètes ou partielles) du Coran de les détruire.