Existe-t-il une pensée juive autonome, une pensée proprement juive qui donnerait accès à une volonté qu’on pourrait qualifier de divine? La réponse s’articule selon trois axes. L’existence d’un monde impliquerait une volonté déterminant sa présence. La conscience d’une telle volonté impliquerait qu’elle se fasse connaître. Une connaissance de cet ordre impliquerait celle d’une finalité de cette existence. Tel est le champ proposé à notre investigation.