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Vincent Lambert, le point de vue juif
Dieu, science et fin de vie (18 min)
Elie Botbol - médecin, Ruben Honigmann - journaliste
Sortir du darwinisme médical
"Nous ne sommes pas que des êtres biologiques" (4min)
La vie ne se quantifie pas
"Débrancher V. Lambert est un meurtre" (8min)
Le danger du transhumanisme
L'intelligence ne peut être artificielle (6min)
Elie Botbol - médecin
Ruben Honigmann - journaliste
Ruben Honigmann est journaliste et directeur éditorial d'Akadem.
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Paris - 27 juin 2019
Dieu, science et fin de vie
- 1/3Sortir du darwinisme médical(4min)
"Nous ne sommes pas que des êtres biologiques"
- 2/3La vie ne se quantifie pas(8min)
"Débrancher V. Lambert est un meurtre"
- 3/3Le danger du transhumanisme(6min)
L'intelligence ne peut être artificielle
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Le sens de la souffrance
Quelques instants de vie
Un temps pour mourir
L’euthanasie passive
Paix et uniformité

Ruben Honigmann est journaliste et directeur éditorial d'Akadem.
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Nicole O'
4 juillet 2019, 10h28, Nicol'O
Si les appareils diaboliques n'existaient pas ça fait longtemps que Lambert serait mort. Droit à la vie, certes mais aussi droit à la mort.
Affaire Vincent Lambert
6 juillet 2019, 14h45, Jemyma
Merci pour cette parole. Effectivement, Vincent Lambert n'est ni souffrant ni en fin de vie. Le nourrir et l'hydrater n'est pas de l'acharnement thérapeutique. En dehors des religions, dans notre constitution, il me semble que nous devons assistance à personne en danger !
Esthy
12 juillet 2019, 11h19, Esthy
A Nicol je réponds : En l'occurrence, Vincent n'était lié à aucun appareil ! Donc ce n'était pas le diable qui le retenait mais la vie elle même, mystère et principe dont les humains devraient être les garants puisqu'ils en dont les dépositaires les plus conscients de sa valeur suprême. .
Merci. Paroles de VIE
12 juillet 2019, 11h57, Jo
Le danger de réduire l'homme à un corps et un cerveau.
Affaire Lambert
12 juillet 2019, 12h16, T E
Si il n'y avait pas ces machines il y aurait eu beaucoup de morts prématurés beaucoup d'handicapés beaucoup de gens malheureux et malades. Merci le progrès médical. La question est de savoir si c'est de l'acharnement thérapeutique ou si il était en fin de vie ets. Seuls des médecins et des juges compétents peuvent répondre.
Affaire Lambert
15 juillet 2019, 10h18, T.E
Droit à la mort si le malade souffre beaucoup. Ce qui n'était absolument pas le casT.