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Inverser son regard - n° 43
Ki Tetsé: les enfants de l'Histoire (35 min)
Nissim Sultan - rabbin
Filial, patriarcal et pénal
Ethique a double tranchant (6min)
Père et fils, sans saint esprit
Entre déboires et espoirs (10min)
Justice a Dieu vitesse
SOS, mécréants en détresse (5min)
Inverser son regard
Sang versé, verset prometteur (11min)
Nissim Sultan - rabbin
Nissim Sultan est né à Paris le 12 juillet 1976, Marié, huit enfants. Rabbin des Communautés de Villiers-le-Bel (Val d'Oise) de 1999 à 2008, Aix-en-Provence (Bouche du Rhône) de 2008 à 2014. Membre des Commissions "Bioéthique et Judaïsme " et "Ethique des Affaires " des Consistoires Central et de Paris. Depuis mars 2014, rabbin de la Communauté CIG Bar Yohaï à Grenoble (Isère).
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Sefarim: la Bible du Rabbinat
- Akadem
Paris - 20 août 2020
Ki Tetsé: les enfants de l'Histoire
35 min
Nissim Sultan - rabbin
Commentaires ( 3 )
Magistral
23 août 2020, 11h42, David Banon
Bravo rabbi Nissim. Il faudrait penser à publier vos commentaires qui sont d'une richesse exceptionnelle. Car pour nous pauvres lecteurs, nous avons besoin de les reprendre et de les ruminer lentement . Shavoua tov et d'ores et déjà ketiva véh'atima tova léaltar. David B.
une performance
23 août 2020, 17h33, Marcus Elhadad
Admiration pour Rabbi Nissim Sultan, pour la pureté de la langue qu'il manie avec maestria et pour la profondeur de son analyse. Il nous apprend a lire la Torah comme un document vivant ou l'on doit chercher le sens même de notre vie. Il nous apprend, chemin faisant, a ne pas y chercher des réponses ponctuelles a nos questions, formules paresseuses dont se gargarisent les faux-savants en torah; la lecture de la Torah est embarrassante, elle offre a penser, c'est notre force. Publiez, s'il vous plait, on vous lira avec plaisir. Merci
La faute du père
29 août 2020, 18h52, Patrick CHEMLA
Merci d'avoir commenté brillamment l'opposition entre le verset de la parachah où chacun ne paye que pour sa propre faute et le 2° commandement où l'enfant doit se désolidariser du père quand il fait un"crime". On peut prendre pour exemple le fait d'accepter sans broncher que des injustices soient faites à notre prochain au nom d'une ségrégation raciale par exemple sous prétexte qu'elles ont été instituées le siècle précédent et qu'elles se trouvent entérinées de génération en génération parce qu'elles sont devenues une coutume locale. C'est seulement dans ce cas que la faute des parents mérite d'être reportée sur les enfants de la 3° ou 4° génération.
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PLAN DE LA CONFÉRENCE
Filial, patriarcal et pénal
Ethique a double tranchant (6min)
Père et fils, sans saint esprit
Entre déboires et espoirs (10min)
Justice a Dieu vitesse
SOS, mécréants en détresse (5min)
Inverser son regard
Sang versé, verset prometteur (11min)
L'organisateur
- Akadem
Paris - 20 août 2020
Magistral
23 août 2020, 11h42, David Banon
Bravo rabbi Nissim. Il faudrait penser à publier vos commentaires qui sont d'une richesse exceptionnelle. Car pour nous pauvres lecteurs, nous avons besoin de les reprendre et de les ruminer lentement . Shavoua tov et d'ores et déjà ketiva véh'atima tova léaltar. David B.
une performance
23 août 2020, 17h33, Marcus Elhadad
Admiration pour Rabbi Nissim Sultan, pour la pureté de la langue qu'il manie avec maestria et pour la profondeur de son analyse. Il nous apprend a lire la Torah comme un document vivant ou l'on doit chercher le sens même de notre vie. Il nous apprend, chemin faisant, a ne pas y chercher des réponses ponctuelles a nos questions, formules paresseuses dont se gargarisent les faux-savants en torah; la lecture de la Torah est embarrassante, elle offre a penser, c'est notre force. Publiez, s'il vous plait, on vous lira avec plaisir. Merci
La faute du père
29 août 2020, 18h52, Patrick CHEMLA
Merci d'avoir commenté brillamment l'opposition entre le verset de la parachah où chacun ne paye que pour sa propre faute et le 2° commandement où l'enfant doit se désolidariser du père quand il fait un"crime". On peut prendre pour exemple le fait d'accepter sans broncher que des injustices soient faites à notre prochain au nom d'une ségrégation raciale par exemple sous prétexte qu'elles ont été instituées le siècle précédent et qu'elles se trouvent entérinées de génération en génération parce qu'elles sont devenues une coutume locale. C'est seulement dans ce cas que la faute des parents mérite d'être reportée sur les enfants de la 3° ou 4° génération.