De Lévitique 16,1 à 18,30; Yom Kipour et Pourim présentent des similitudes troublantes. Ces deux moments rappellent qu'un individu n'est pas prisonnier de ses fautes et qu'un peuple peut échapper à son destin. Au cœur de la nuit, le Roi peut encore être rappelé au souvenir de mérites enfouis.