Simone Veil au Panthéon: aux grandes femmes la Patrie reconnaissante |
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Mémoire et avenir |
En reconnaissant la responsabilité de l'Etat français dans la déportation et la spoliation de milliers de juifs en France, la République ouvrait la voie à un difficile travail de réparation. Réparer les dommages quand il était encore temps, établir les faits historiques pour prévenir toute falsification, encourager la création culturelle pour assurer la transmission, repousser le spectre de l'antisémitisme... Nulle n'était mieux à même de créer et de diriger la Fondation pour la mémoire de la Shoah que celle qui incarnait la renaissance après le cataclysme. |
- La FMS, une fondation bien au delà de la mémoire... avec Philippe ALLOUCHE
- La mémoire vive de l'éclaireuse israélite avec Anne-Marie REVCOLEVSCHI
- Le Mémorial: restituer à chaque victime son identité par Serge KLARSFELD
- Le rôle du témoin et de l'encadrement avec Francine CHRISTOPHE,
Janine DOEHRY,
Lore KLEIBER
- Le potentiel pédagogique des lieux de mémoire avec Piotr CYWINSKI,
Jacques FIJALKOW,
Alessandra FONTANESI,
Serge KLARSFELD,
Joachim KÖNIG,
Olivier LALIEU,
Hervé PINGAUD,
Dominique TRIMBUR
- Le mémorial des enfants juifs déportés de France par Serge KLARSFELD
- Combattants de la Mémoire avec Beate KLARSFELD,
Serge KLARSFELD
- "Un crime commis en France par la France" par François HOLLANDE
Commémoration de la Rafle du Vel' d'Hiv 2016
- "Vichy était la France mais pas tous les français" Emmanuel MACRON
Commémoration de la Rafle du Vel' d'Hiv 2017
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Les derniers témoins |
"Dans un, deux ou trois ans, il n'y aura plus personne, analyse avec lucidité Marceline Loridan-Ivens. Il faut donc avoir le courage de raconter jusqu'au bout. Pour les morts - les seuls vrais témoins, passés au gaz - et pour l'avenir." Simone Veil et ses "compagnons de camps" comme elle aimait à les appeler, savaient mieux que quiconque qu'ils ne seraient pas éternels. Qui portera alors leur fardeau dans ce siècle trop enclin à l'oubli, voire au négationnisme? |
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Combats de femmes |
En donnant son nom à la loi autorisant l'IVG, elle a incarné le combat féministe au XXe siècle. Cette remise en question des fondements mêmes de la vie humaine n'a pas épargné la communauté juive qui a été conduite à repenser son rapport au vivant, à la famille, à la filiation. Un débat qui depuis n'a cessé de s'enrichir de nombreuses contributions, l'approche juive éclairant bien souvent le débat national. Akadem vous propose une sélection parmi les nombreuses conférences de son fonds. |
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