Juif et résistant, Vladimir Jankélévitch pose, après la guerre, la question de son Pardon et gage sur son impossibilité. C'est notamment à la suite de ses travaux que le crime contre l'humanité devient imprescriptible, en 1964. Pour lui, "le pardon est mort dans les camps de la mort". Celui qui ne serrait pas la main aux Allemands est l'un des portes voix d'une philosophie morale, où justice se mêle aux droits de l'Homme. Retrouvez, sur akadem, une introduction à sa pensée.