A. Kimhi - écrivain - Z. Shalev - écrivain
Bonjour,
Je lis "ce qui reste de nos vies" je voulais ecouter l, entretien que l'auteure a accorde a akadem. J"ai trouvé difficile d'ecouter la traductrice. C'est vraiment dommage d'avoir laisse la voix de shalev et celle de la traductrice au meme niveau. Je n'ai pas pu finir l'ecoute.
Alona Kimhi est écrivain. Elle est née en 1966 en Ukraine.
En 1972, sa famille émigre en Israël à Kyriat Bialik. Après son service militaire, elle fait des études de théâtre à l’académie Bet Zvi et entame une carrière de comédienne au théâtre et au cinéma.
En 1993, elle commence à publier des pièces de théâtre puis se tourne définitivement vers la littérature en 1996 avec la publication de son premier recueil de nouvelles, Moi Anastsia, primé dès sa parution en Israël.
Ses romans Suzanne la pleureuse en 1999 et Lily la tigresse en 2004 lui apportent une consécration internationale. (MAJ 2015)
Zeruya Shalev est néée en 1958 dans un kibboutz de Galilée. Elle est écrivan et éditrice aux éditions Keshet et vit à Jérusalem.
Son premier roman, Dancing , Standing Still, est publié en 1993. Il est suivi de Vie amoureuse en 1997. Ce livre, qui déclenche une vive polémique en Israël, se retrouve en tête des classements et obtient notamment le Golden Book Prize. Il est traduit dans une quinzaine de langues.
Mari et femme, en 2000, remporte le même succès international.
Le 29 janvier 2004, rentrant à pied chez elle, Zeruya Shalev est blessée dans un attentat suicide qui fait onze morts. Les blessures et le choc l'empêcheront pendant quelque temps de travailler à son roman Théra sorti avec un an de retard.
Elle reçoit le Prix Femina étranger 2014 pour Ce qui reste de nos vies;
Outre des romans, elle a également publié un recueil de poésie, An Easy Target for Snipers en 1989, ainsi qu'un livre pour enfants, Mama's Best Boy en 2001.
Ce qu’il reste de nos vies Z. Shalev 08 mai 11:16, par Clo
Tout à fait d’accord avec le commentaire précédent, c’est inaudible, en tout cas difficile à suivre ce brouhaha de voux.
Dommage. J’ai Renoncé aussi à écouter.