A. Bensemhoun - B. Fiszon - V. Guedj-Bellaiche - E. Halimi - L. Joffrin - Kosciusko-Morizet - R. Krygier - D. Maimon - J. Tarnero - Y.C. Zarka
Arié Bensemhoun est l'actuel président de la Commission Régions du CRIF (Mise à jour: mars 2007)
Bruno Fiszon est depuis 1997, le Grand Rabbin de Metz et de la Moselle. Vétérinaire, il est conseiller auprès du Grand Rabbin de France et du Président du Consistoire, chargé du dossier sur l’abattage rituel des animaux, étant lui-même un spécialiste de la question. À ce titre, il est la principale référence religieuse juive lors de la Polémique de 2012 sur l'abattage rituel. Au niveau Européen il a participé au projet DIALREL afin de défendre la shehita en Europe. (MAJ 2014)
Virginie Guedj-Bellaiche est journaliste depuis 2000. Elle a travaillé à la radio et dans des sociétés de production audiovisuelle. Elle collabore à divers journaux. (Mise à jour: novembre 2009)
Eric Halimi est journaliste et rédacteur en chef à RFM
Laurent Joffrin (de son vrai nom Laurent Mouchard), né en 1952 à Vincennes, est un journaliste français. Il collabore notamment à l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur, dont il a été directeur de la rédaction de mars 2011 à mars 2014, et est actuellement directeur de la rédaction et de la publication du quotidien Libération en tandem avec Johan Hufnagel.
Nathalie Kosciusko-Morizet (surnommée « NKM »), est une femme politique française.
Membre de l’Union pour un mouvement populaire, elle est députée de la quatrième circonscription de l'Essonne et maire de Longjumeau.
Elle exerça auparavant les fonctions de conseillère régionale d’Île-de-France, secrétaire d’État chargée de l’Écologie, puis chargée de la Prospective et du développement de l’Économie numérique, puis ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement et fut secrétaire générale adjointe de l’UMP, porte-parole du candidat Nicolas Sarkozy durant l’élection présidentielle française de 2012.
Rivon Krygier a été membre du mouvement de jeunesse Ha-Shomer ha-Za’ir, jusqu’à son installation en Israël en 1977. Il fut étudiant à l’Université Hébraïque de Jérusalem et au Ma’ayanot Institute of Jewish Studies, dirigé par le rabbin français Léon Ashkenazi (Manitou). Il fut le premier rabbin de langue française diplômé du Schechter Institute of Jewish Studies, filiale du Jewish Theological Seminary of America. En 1991, il devient le rabbin de la communauté Adath Shalom à Paris, première communauté Massorti (conservative) de France. Titulaire d’un doctorat de la Sorbonne en sciences des religions, il est une figure marquante du débat intellectuel au sein du judaïsme français. Ses travaux sont pour l’essentiel consacrés aux questions d’éthique et de théologie, ainsi qu’au dialogue interreligieux. Il publie des articles dans diverses revues (Revue des études juives, Pardès, Conservative Judaism, Recherches de science religieuse). Il est également l’auteur de plusieurs ouvrages, dont l’essai L’Homme face à la Révélation publié en complément de l’ouvrage de Louis Jacobs La Religion sans déraison (Albin Michel, 2011).
Directeur de recherche au Jewish People Policy Institute (Jérusalem), Dov Maïmon est notamment l’auteur d’une étude portant sur « le judaïsme européen en 2030 », où s’esquissent divers scénarios possibles pour le devenir communautaire.
Ingénieur formé au Technion (Haïfa), diplômé de l’Inséad (Fontainebleau) en management, professeur aux Universités de Ben Gourion (Beer-Shéva) et du Mont Scopus (Jérusalem), Dov Maïmon travaille sur les rapports entre histoire, religions et politique.
Membre de différentes commissions ministérielles israéliennes, il a notamment coordonné la taskforce du gouvernement israélien sur l’avenir des Juifs de France.
(Mise à jour: novembre 2017)
Jacques Tarnéro, philosophe, est essayiste, documentariste, chargé de mission à la Cité des Sciences et de l'Industrie.
Il participe à la révolte étudiante de mai 68 puis s'éloigne de la gauche française lorsqu'elle fait d'Israël un Etat paria.
Ses domaines d'études recouvrent la perception d'Israël dans l'histoire, notamment dans l'histoire contemporaine, l'éclosion du terrorisme, Mai 68 et ses conséquences, le négationnisme, et plus récemment, l'Islam de France. Il a été chercheur associé au CNRS-Centre interdisciplinaire de recherche sur les juifs et la diaspora et est l'auteur de plusieurs ouvrages. Il a également réalisé deux films documentaires, Autopsie d’un mensonge en 2001 sur le négationnisme, sa naissance en occident, sa diffusion dans le monde musulman et le rôle joué par Internet, ainsi que Décryptage, en 2002, sur l'information et le conflit israélo-arabe.
Jacques Tarnero appartient au Cercle de l'oratoire, constitué à la suite du 11 septembre 2001 autour de Michel Taubmann, journaliste à Arte et rédacteur en chef de la revue du cercle Le meilleur des mondes, et de l’épouse de ce dernier qui est pasteur au temple de l'Oratoire du Louvre. Le Cercle pointe l'importance de la lutte contre le totalitarisme islamiste et a soutenu les guerres d'Afghanistan et d'Irak. La revue a lancé la première pétition en faveur de Robert Redeker, le philosophe menacé en France en 2006 par des groupes islamistes .
Yves Charles Zarka est professeur à l'Université René Descartes-Paris 5. Directeur de recherche au CNRS, il a fondé le Centre Thomas Hobbes (1990-2002) et a dirigé le Centre d'Histoire de la Philosophie Moderne (1996-2004). Ses recherches portent sur la constitution des concepts fondamentaux de la pensée juridico-politique moderne. Sa méthode consiste à associer philosophie et histoire en interrogeant philosophiquement les textes du passé. Il est en charge, aux Presses Universitaires de France, de quatre collections et dirige la revue Cités. Il est, par ailleurs, membre du Comité de rédaction de la revue Archives de Philosophies et du Comité scientifique du British Journal for the History of Philosophy, ainsi que de la revue Science et Esprit (Ottawa). Il a été membre du Comité National de la Recherche Scientifique (1995-1999) et du Conseil National des Universités (1994-1995 et 2000-2003). Il a été co-président de la commission chargée de la Consultation et du Rapport sur la recherche philosophique en France.
La sécurité mais à quel prix 21 février 18:39, par Francine
Je suis passée voir un film au centre culturel tchèque, l'entrée est libre et l'on monte vers la salle de projection sans inscription et sans contrôle aucun.
Au centre Rachi outre l'inscription obligatoire pour ces séances de cinéma avec débat on passe par un sas après quantité de questions. La police est également présente à l'extérieur
Alors la sécurité certes mais à quel prix et pourquoi cette inégalité, ce mal nécessaire de la fouille ? La réponse n'est-elle pas dans l'antisémitisme ?