Une parole, enfin dans le désert : vox popili 29 octobre 10:39, par Robert Klein
Merci Jean pierre Winter pour ces mots bienveillants qui rappellent a tous que l'engagement est avant tout personnel
Il me semble tres dangereux, en effet, que les médias alimente un mouvement massif mais superficiel. Un tel courant, devenu presque autonome, n'aurait-il pas quelque potentialité totalitaire ?
J'en parle d'autant plus librement puisque j'ai du dénoncer une maltraitance sur mineur (reconnue par la justice).
Comme le disait Hannah Arendt, peu de gens pensent. S'en remettre a un "buzz" (!) c'est peut-être faire perdurer l'omerta.
Bien a vous.
Du grain à moudre 26 octobre 10:34, par dom
Il parle un peu légèrement des "hommes préhistoriques" dont nous ne connaissons pas quelles règles et quelles lois furent les leurs, alors que nous connaissons parfaitement l'hypocrisie des sapiens actuels à cet égard et particulièrement des mâles sapiens, qu'il semble évoquer en priorité, oubliant un peu ce que les femelles tentent de dire depuis longtemps sans être entendu et sans même que les lois ne les protègent de cet exercice du pouvoir, qui jusqu'à une date récente était un rite de passage reconnu afin que s'affirme la virilité...
Jean-Pierre Winter est psychanalyste. De formation philosophique et juridique, ancien élève de Lacan, il est membre et Président du Mouvement du coût freudien, issu de la dissolution de l'Ecole freudienne de Paris.
Dieu, l'amour et la psychanalyse,
(Bayard, 2011)
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Abandon sur ordonnance : manifeste contre la légalisation des mères porteuses, avec René Frydman, Myriam Szejer et Marie-Claire Busnel,
(Bayard, 2010)
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T. Alcoloumbre - D. Candilis-Huisman - A. Coen - S. Epstein - S. Leroy - A. Shinan - R. Waintrater - J.P. Winter - Y. Zakovitch Jérusalem, novembre 2009
Une parole, enfin dans le désert : vox popili 29 octobre 10:39, par Robert Klein
Merci Jean pierre Winter pour ces mots bienveillants qui rappellent a tous que l'engagement est avant tout personnel
Il me semble tres dangereux, en effet, que les médias alimente un mouvement massif mais superficiel. Un tel courant, devenu presque autonome, n'aurait-il pas quelque potentialité totalitaire ?
J'en parle d'autant plus librement puisque j'ai du dénoncer une maltraitance sur mineur (reconnue par la justice).
Comme le disait Hannah Arendt, peu de gens pensent. S'en remettre a un "buzz" (!) c'est peut-être faire perdurer l'omerta.
Bien a vous.