R. Honigmann - journaliste - E. Marty - écrivain
Quant on confond ou plutôt quand on entretien la confusion entre argent et charisme, tout est permis y compris le marchandage de personnes !. Par extension à la monnaie unique européenne.
Tres fine analyse du melanchonisme, merci a Eric Marty et a Akadem.
D'accord avec Anne, je suis choquee par le rappel lancinant dans tous les medias du nom (et ici du visage !) du tueur de Toulouse. Nous savons que cette "gloire" posthume est ce que recherchent ces assassins. Arretons de leur offrir ces tribunes post-mortel, rappelons plutot les noms des enfants, celui d'Ilan Halimi et tous les autres.
Hormis ce point, merci pour cette salutaire mise au point sur les fondamentaux antisemites du populisme de Melanchon et de l'extreme gauche.
C'est aussi une expression arabe courante "ya ness".
Pourquoi une fois encore citer et montrer la photo de Merah, trop souvent mis en avant, et ne pas donner les noms des 3 enfants "qu'il n'a pas oubliés", Arieh et Gabriel Sandler ainsi que Myriam Monsonego ? Pour que nous non plus ne les oubliions pas...
Ruben Honigmann est responsable éditorial d'Akadem.
Éric Marty est né à Paris en 1955. Philosophe, essayiste et écrivain, il enseigne la littérature française contemporaine à l’université Paris VII. Il dirige les collections "Littera" et "Le marteau sans maître" aux éditions Manucius et est également l'éditeur des œuvres complètes de Roland Barthes. L'activité éditoriale d'Éric Marty est marquée par des prises de position défendant l'État d'Israël, notamment contre la campagne BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions) .
De l'inanité intellectuelel érigée en vertu 22 juin 18:00, par claude Béziers
Je ne sais pas d'où sort ce monsieur Eric Marty, mais son discours est intellectuellement lamentable : il se contente d'affirmer une thèse qu'il ne parvient pas un seul instant à justifier. A moins qu'il ne soit dans une forme de folie délirante qui consiste à voir de l'antisémitisme partout. Si j'avais à noter la copie, je ne sais ce que je lui mettrais (il faudrait pouvoir comparer avec d'autres) mais pas grand chose.
Si l'oligarchie, c'est une fiction antisémite, cela veut dire que les penseurs Grecs du Ve IVe siècle avant J. -C. étaient antisémites... Et comment faut-il appeler la caste des dirigeants d'entreprise qui gagent des sommes tellement exorbitantes qu'on ne peut même pas les mémoriser ? Mesure-t-on par de telles sommes la valeur de leur travail - mais combien faudrait-il payer les chercheurs de haut niveau - ou leur aptitude à exploiter les autres ? En compagnie de collaborateurs également bien rémunérés.
La ficelle est un peu grosse : la critique est évacuée comme de la haine, et c'est sans doute par amour de l'humanité que le commentateur précédent conclut "le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c… on est c…".