Le prix du chantage

L'impossible islam de France

"Les Juifs ce n'est pas la France"

''Le droit d'emmerder Dieu''

Ils ont fait le judaïsme français (17/18)

Soirée de soutien à Boualem Sansal

Un ingénieur de la Tora

Un fantasme antisioniste

La Shoah: témoigner aujourd'hui

40 ans de guerre d'usure

CPI : compétences et fonctionnement

"Quelle que soit l'identité qu'il empruntait, Romain Gary se retrouvait toujours coincé dans sa judéité". Durant toute sa vie, dans ses œuvres, mais aussi dans des déclarations, l'écrivain français d'origine russe donne des versions diverses de ses origines, faisant varier son nom, son lieu de naissance, la nationalité de son père, celle de sa mère. En 1970, il s'exprime sur sa judéité, sa vision du conflit israélo-palestinien et sur les accusations d'antisémitisme contre De Gaulle.

8 octobre, le jour d'après

Deux manuscrits conservés à la BNF

Je n'ai jamais quitté l'orthodoxie

"Penser contre soi-même"

Le conflit mot à mot

Trésor national juif - Dans les collections du MahJ

Petit manuel de lutte contre l'antisémitisme

Juives par choix, un podcast de Tenoua

Tout le bruit du Gueliz de Ruben Barrouk

Itinérances, d'Annette Wieviorka

La plus précieuse des marchandises de Michel Hazanavicius

"Qui se souviendra d'eux sinon moi ?"

« Je n'ai pas voulu faire un film de souvenir mais, peut-être, un film de résurrection. » En 1985 sort un monument de l'histoire du cinéma, le documentaire Shoah, de Claude Lanzmann. Il dure près de 10 heures, et reste à jamais le film le plus important dans la mémoire du génocide. Quelques semaines après sa sortie, L'Arche reçoit Claude Lanzmann pour une interview inédite. Il explique la genèse du film et les difficultés qu'il a éprouvé dans cette quête qui aura duré 12 ans. Récompensé par un César d'honneur en 1986, Shoah est inscrit en 2023 au registre de la Mémoire du monde de l'UNESCO.

Soirée de soutien à Boualem Sansal

En 1976, les journalistes de l’Arche sont allés rencontrer le patron du Monde, déjà perçu par les Juifs de France comme un journal dissimulant mal ses biais sur le conflit israélo-palestinien. Ils demandent notamment à André fontaine : « Aujourd'hui, aux yeux de beaucoup et notamment pour une très grande partie de la communauté juive de France, c'est un journal antisioniste. Qu'est-ce qui a changé, le sionisme ou les rédacteurs du Monde ? » Cinquante plus tard, le même questionnement demeure et s’est sans doute intensifié. Il est passionnant de relire ce document au moment où une enquête parue Le Figaro témoigne du malaise grandissant au sein même de la rédaction Monde concernant le traitement du conflit israélo-palestinien. Plusieurs journalistes, sous anonymat, dénoncent une orientation idéologique fortement anti-israélienne qui, selon eux, mène à des biais rédactionnels et des tensions internes. En ligne de mire : le traitement journalistique du conflit par Benjamin Barthe, rédacteur en chef adjoint du service international, marié à une activiste palestinienne très engagée et aux positions radicales. Malgré des alertes internes et des critiques externes, la direction du Monde défend son journaliste tout en minimisant les accusations.

Contempler la lumière

Le 20 novembre dernier est sorti au cinéma La plus précieuse des marchandises, un film d’animation de Michel Hazanavicius adapté du conte éponyme de Jean-Claude Grumberg. Il s’agit d’un conte sur le sauvetage d’un petit bébé juif, jeté hors du train de déportation par son père et recueilli par un couple de Justes, probablement polonais. Probablement, car comme le veut le conte dont la portée est universelle, les lieux, les langues, les nationalités ne sont pas précisés et la Shoah n’est présente explicitement qu’en toile de fond. Comment raconter une histoire singulière en termes universels ? Ce conte a été l’occasion pour Elishéva Gottfarstein de réfléchir à cette problématique. Une réflexion conduite elle-aussi sous forme de conte.

Remise du prix de la National Jewish Theater Foundation à Jean-Claude Grumberg

Jazz, klezmer et rock'n'roll

Une vie de pensée juive

Les intellectuels israéliens sont-ils incapables de délivrer un message de portée universelle? Le professeur Scholem répond ici aux affirmations de George Steiner et expose ses vues sur l'essence du judaïsme, dont la fécondité est liée à l'enracinement sur le sol ancestral et à la reconstruction d'un foyer national.

Les Mémoires interrompus de Barbara

Crime de guerre, crime contre l'humanité, génocide

Mandats d'arrêts de la CPI

Faudra-t-il condamner George Steiner* à la ciguë? La thèse qu'il soutint à Jérusalem dans le cadre d'une rencontre israélo-américaine et qui se réclame de l'ironie socratique, a soulevé une violente polémique dont on trouvera les échos dans l'article de Gershon Scholem. Elle fera grincer aussi les dents de bien d'autres. En tous les cas, voici une pièce peu conformiste à verser au dossier de la Diaspora.

Gaza, trou noir des services de renseignement

Etat des lieux, témoignages, prospectives et résistances

"Quelle que soit l'identité qu'il empruntait, Romain Gary se retrouvait toujours coincé dans sa judéité". Durant toute sa vie, dans ses œuvres, mais aussi dans des déclarations, l'écrivain français d'origine russe donne des versions diverses de ses origines, faisant varier son nom, son lieu de naissance, la nationalité de son père, celle de sa mère. En 1970, il s'exprime sur sa judéité, sa vision du conflit israélo-palestinien et sur les accusations d'antisémitisme contre De Gaulle.

Les excès de la tolérance

Transmettre malgré soi

Chroniques juives des Croisades

Colloque B'nai B'rith

Tarentule, d'Eduardo Halfon

Trump vs Harris

« Ce qui apparente le peuple américain au peuple juif, c’est la volonté d'être une nation biblique. » En 1968, dans le contexte de l’élection présidentielle états-unienne qui oppose le républicain Richard Nixon au démocrate Hubert Humphrey, Elie Wiesel analyse le rapport qu’entretiennent les juifs américains avec la politique. Finalement, alors que Richard Nixon est élu président, il n’aura recueilli que 19% des voix juives.